Phoenicia Collart ▬ "What color do you want to be ?" [Terminée]

Lignée Généalogique

“Petite mention puisque ça risquait d’être un peu complexe”

Mère ; Marissa Collart, nouvellement Reid. (Divorcée 1 fois, mariée 2 fois)
Père ; Luc Collart (Divorcée 1 fois, marié 2 fois)
Demi-frère ; Jeremy Reid (enfant de Marissa et Greg)
Beau-père ; Greg Reid (marié 1 fois )
Belle-mère ; Evalynn Wilson, nouvellement Collart (mariée 1 fois)
Autre demi-frère ; Nathaniel Collart (enfant de Evalynn et Luc)


Tu es née le jour de l’Halloween à minuit très exactement. Tes parents t’ont prénommé Phoenicia. Tu as grandi dans une maison à Detroit, qui se situe au Michigan. Tu avais plusieurs amis lorsque tu étais toute petite. Tu avais également de bonnes notes, on pourrait presque dire que tu étais la première de classe. Tu étais appréciée par les professeurs. Qu’est-ce qu’on pourrait demander de mieux ? Une famille qui vous aime est un atout que peu de gens ont et malheureusement, tu n’as pas eu cette chance. Lorsque tu avais environ six ans, ton père était abusif envers ta mère, il était un piccolo fini. Un raté de la vie. Ta mère n’a pas enduré ses coups bien longtemps. Elle a pris toutes ses affaires et l'a jeté à la rue, tel un déchet. C'était tout ce qu'il méritait. Ta mère t'a élevée comme elle pouvait, elle t'a aimée comme elle pouvait, elle t'a logée, elle t'a nourrie comme elle pouvait avec ses moyens financiers. Elle n'avait pas un travail des plus extraordinaires, mais assez pour que vous puissiez vivre.

Ta mère n’a donc pas eu le choix de divorcer ton père et obtenir ta garde puisque ton père ne pouvait pas s’occuper de toi. Il n’avait pas de boulot et tout ce qu’il intéressait était l’alcool et la télévision. Un an plus tard, ta mère rencontrait l’homme de sa vie, Greg Reid. Au tout début, tu étais distante envers cet homme, mais avec le temps tu as commencé à l'apprécier et ce de plus en plus. Il a même proposé ta mère en mariage, qu’elle accepta bien entendu. Neuf mois plus tard, elle accouchait de ton demi-frère, Jeremy. Lorsque tu regardais ce petit être, tu fus totalement charmé et comblé. Tu ne l’avais jamais admis, mais au départ de ton père biologique, tu as eu un vide, une certaine tristesse qui s’était installée au niveau de ton coeur. Cette tristesse s’est dissipée lorsque ton regard se perdait dans celui de Jeremy. Tu étais sa grande soeur et tu jurais de le protéger coûte que coûte.

Avec le temps tu as grandi et tes goûts ont changé. Tu as développé une certaine passion pour l’art ; la peinture. Tu as pris goût et de jour en jour tu étudies toutes les formes de couleurs ainsi que la définition de celles-ci. Tu appris beaucoup de choses et même tes parents t'encourageant à aller vers cette profession. C’est sûr qu’au tout début tu étais choyée voire même comblée par cette passion naissante, mais… Tu ne t’y voyais pas y faire des études. Non. C’était plus une passion qu’autre chose, mais rien ne t’empêchait de peinturer si tu en avais envie, même ton petit frère t’encourageait. Vous avez six ans de différence. Et comme toi, il adore dessiner plein d’animaux terrestres autant aquatiques. À chaque jour, tu lui apprenais ce que tu savais à propos de l’art ainsi que les choix de couleurs. C’était peut-être anodin pour certaines personnes, mais pour toi Phoenicia, c’était merveilleux de l’instruire à quelque chose.

Au lycée, tu étais toujours la première de classe, tu adorais les études ainsi que les leçons données par les professeurs. Certains élèves pensaient que tu étais la chouchoute des professeurs alors qu’en vrai ce n’était pas le cas. Tout ce qui t’intéressait était ton avenir qui s’annonçait prometteur. Tu mis de côté les relations amoureuses, car oui, certains garçons étaient intéressés, mais tu savais pertinemment que ce n’était pas pour cette raison.Non, tu savais que s’ils sortaient avec toi, ils allaient t’utiliser pour avoir de meilleures notes et ce n’était pas ce que tu voulais. Ni même de distraction. Sauf la peinture pour te sortir de ce monde et voyager à travers les paysages que tu confectionnais.

Quand tu étais jeune tu avais plein d’amis, où sont-ils désormais ? Ils se sont éloignés et ils ont changé avec le temps puisqu’ils voyaient que tu te concentrais plus sur tes études que sur les garçons de ton âge. Pour eux, ce n’était pas une vie palpitante, mais tu sais quoi . Tu t’en fichais royalement puisque c’est ta vie et tes choix. Avec tes recherches, tu as su ce que tu voulais faire plus tard, tu voulais être psychologue. Tu voulais aider les autres à aller mieux et les guider vers le droit chemin. Tu as passé haut la main tous les examens de fin d’année ainsi ceux d’entrée pour aller à l’université. Tes parents étaient fiers de toi ainsi que Jeremy. Tu savais que la prochaine étape allait être dure, mais tu n’allais pas baisser les bras aussi facilement.

Tu as été acceptée à Wayne State University dans le département en psychologie et maintenant tu es rendue à ta dernière année. Oui, oui, ta dernière année. Tu as fait un bond dans ta vie, car rien d’intéressant ne s’y ne passait. Tout ce que tu peux dire, c’est que tu as toujours eu des bonnes notes, de très bonnes notes. Tu adores étudier et être la première. Pour être heureuse dans la vie, il faut accomplir ce que l’on aime, n’est-ce pas . C’est ça que tu fais, tu mords la vie à pleine dent. À l’université tu rencontrais cette jeune femme, que tu n’avais jamais vue auparavant. Ce fût le coup de foudre.Elle était là. Elle attendait le premier cours de cette dernière année. Elle lisait ce livre de “Roméo & Juliette”. Vous vous êtes présentées et pendant tout le cours vous ne cessiez de vous regarder dans les yeux. Aimez une femme . Était-ce absurde ? En même temps ça ferait du sens puisque tu n’avais aucun intérêt pour les hommes. Depuis toutes ces années ? Helen, c’était son nom. Un nom magnifique qui allait bien avec son visage.Tu ne lui déclarais pas ton amour, tu attendais le bon moment de le faire, mais la tension entre vous était tellement forte que ça te faisait mal au niveau de ta poitrine. Tu ignorais à qui en parler, tu ignorais si ta mère serait ouverte à ce genre de chose, ni même ton beau-père…

Une journée pluvieuse, tu tombais sur ton père biologique. Il semblait bien aller depuis la dernière fois que tu l’as vu. Au premier abord, tu étais méfiante, mais il t’invitait à prendre un café. Tu acceptais. Tu attendais ce qu’il voulait te dire. Il t’annonçait qu’il s’était repris en main, il s’est trouvé une femme et qu’il y eut un enfant avec. Il était également désolé pour l’enfance qu’il n’a pas su te donner, mais ça ne te fit rien, tu étais heureuse pour lui et tu lui souhaites tout le bonheur du monde.Tant qu’il était heureux, tu le serais également. Tu lui avouais que ta mère t’empêchait d’aller le voir et que ça t’attristait. Tu étais donc heureuse de le voir en santé. Il avait même un travail. Son histoire de boisson était derrière lui. Vous discutiez de tout et de rien, les choses que tu avais accomplies et il était heureux pour toi. Et tu mentionnais Helen, au début il fût choqué, mais il allait quand même t'aimer même si aime les femmes.Ce fût le coup de pouce que tu attendais, car le lendemain tu déclares ta flamme à Helen. C’était réciproque. Tu étais heureuse de l’avoir rencontrée et c’était le début d’une longue relation.

Helen et toi aviez terminé les études, toutes les deux étaient diplômée et même que vous figurez sur le tableau d’honneur. Un rêve devenu une réalité. Helen et toi habitiez dans le même appartement depuis un an déjà, mais tu sentais que quelque chose n’allait pas entre vous. Elle te semblait distante depuis qu’elle a trouvé un travail au lycée en tant que psychologue pour adolescents. Elle ne t’embrassait plus, elle ne te collait plus et tu sentais que quelque chose n’allait pas. Tu as donc décidé de rompre avec elle et ce fût la bonne chose à faire.Tu eus le coeur brisé, mais tu savais que ça ne pouvait pas continuer ainsi. Tu lui rendis la liberté qu’elle désirait. Tu étais à nouveau seule, mais la peinture te servait d’échappatoire et ça ne t'affecte pas dans ton travail. Tu as déménagé d’endroit, dont un plus grand appartement pour y mettre ton bureau, là où tu allais recevoir tes clients.La première question que tu leur poses est “si tu étais une couleur, laquelle serais-tu?” Personne ne peut y répondre, mais c’est toujours intéressant de voir ce qu’ils en pensent. Tu n’as pas beaucoup de client, mais ta porte est toujours ouverte à n’importe qui.

Devient le temps des androïdes, la technologie et la perte d’emploi de certain. Tu es ni pour, ni contre ces androïdes. Tout comme n’importe qui, ils ont droit d’exister et d’avoir une vie. D’ailleurs, cette rébellion qu’il y a eu, tu n’as perdu personne en cours de route, fort heureusement. À ce fait, tu ne possèdes pas d’androïdes, car tu n’en désirais pas et c’est ton choix. Quand tu vois un Androïde, tu restes neutre, tu leurs sourires, mais sans plus. Tu n’es pas le genre de personne à vouloir les pousser, ni même les tabasser, car ils bloquent ton chemin. Non et rien qu’à voir ceux qui font ça, ça te désole. Vraiment. Tu aimerais jeter à la porte ceux qui les rabaissent, mais tu as besoin d’argent et tu es là pour les écouter, leur parler et leur offrir une solution.

Petit résumé :
↳ Avec le temps, elle est toujours aussi proche de Jeremy. Ils ont six ans de différence.
↳ Jeremy étudie en art pour devenir un artiste indépendant.
↳ Phoenicia ne cesse de peindre et pose toujours la même questions aux clients.
↳ Elle est neutre face aux Androïdes même après la rébellion.
↳ Elle est célibataire et ne cherche personne en particulier. Helen fût son premier coup de foudre, car au début elle croyait que son coeur était uniquement destiné aux femmes, mais avec le temps elle remarquait que c'était faux. Son coeur est partagé entre les deux sexes, elle peut donc se considérer comme bisexuelle.
↳ Son bureau se situe à son appartement et il est aménagé exprès pour ça.
↳ Elle vit seule et parfois son frère vient squatter son appartement.
↳ Le reste, seul l’avenir sait ce qui lui réserve.