Groupe C ○ Rien ne va ○ ｢ Quatrième partie ｣

Date d'inscription : 24/01/2020

“ Soirée donation ○ Quatrième tour „

“ Rien ne va „

Musique ; Saving Private Ryan - Hymn to the Fallen - John Williams

Vous vous retrouvez dans le petit salon avec monsieur le maire. Il semblerait que certains d'entre vous aient débuté un long interrogatoire avec celui-ci. (Devrais-je dire, la totalité d'entre vous, même si certains sont inquiets pour la sécurité de cet homme ?) Il ne semble pas du tout à l'aise au départ, même très défensifs devant vos diverses questions. N'aime-t'il pas l'attention offerte ? Il est en faite question d'un orgueil attaqué, lui qui a prévu une soirée grandiose, pour y voir tant de visage déçu d'être sur place. Grand organisateur de soirée mondaine depuis des années, il se retrouve dépourvu lorsque tout ne va pas comme il le souhaite, boudant dans un coin tel un pauvre gamin qui n'a pas eu sa sucette après un lourd effort. Rien n'est clair quant aux intentions de cet homme politique, outre son avarice clairement identifiée lors de ses échanges avec un certain policier @Carlos Santiago. S'il était très défensif lors de l'interrogatoire de @Claire Stewart, l'inquiétude de @Samael Hr400 en son égard l'a enfin détendu. Il s'est mis à parler un peu plus, jusqu'à en dire trop. Quelque chose est sure, le maire sait quelque chose, mais il est autant dans le brouillard que vous trois pour le reste. Serez-vous capable de lui tirer les derniers vers du nez ?

Une panique débute soudainement, vous ne vous y attendiez peut-être pas, mais la plupart des invités se mettent à courir dans un effroi terrifique dans le couloir derrière vous. Vous entendez tout ce qui se produit derrière la porte de votre petit salon et tout n'est plus que chaos. Des gens foncent dans d'autres pour trouver une sortie, certains au sol se font piétiner et vous doutez qu'ils survirent aux blessures si cela continue. Certains foncent dans votre porte, cognant de toutes leurs forces en implorant qu'on les laisse entrer, mais le maire vous prévient de ne pas bouger. Que se passe-t-il ? « Une bombe, » entendez-vous parmi les cris et la panique. « Il y a une bombe dans la bâtisse ! » Votre cœur se met potentiellement à débattre sur cette annonce. La panique est arrivée beaucoup plus tôt que prévue, les terroristes n'ont pas eu le temps de bloquer la totalité des sorties. Eux aussi sont dans l'eau chaude. À la vue de la situation un des attaquants prend son arme et tire dans les airs cessants immédiatement quiconque qui bougeait. Tous, ou presque, s'immobilisent par la peur. Le silence tombe, vous n'entendez plus rien de votre salon, puis la porte se fait défoncer et ce que vous voyez vous glacera potentiellement le sang. Des corps, au sol, dans le couloir adjacent à votre petit monde protégé moins d'une seconde plutôt. Des servants, des invités, des civils ; des innocents. Les fusils sont désormais nombreux et pointés vers vous. « Tous en cercle ! MAINTENANT ! » ordonnent-ils en vous encerclant. Il vous faut écouter ou désobéir, mais les conséquences seront présentes.

Spoiler:

Intrigue par @Irina Aslanov / Ladywinter;
Pour le forum Detroit: Become Human. Le renouveau.
Aucune copie ou reproduction permise.

○ BY .LAUFEYSON POUR DETROIT: BECOME HUMAN. NE PAS REPRENDRE.

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“ Let's give it all for the cause „

Ce n'est ni le maire ni le silence qui répond aux derniers mots de Carlos, mais plutôt des cris lointains qui luttent pour se rapprocher. Le son distinctif des battements sur la porte est surprenant et le réflexe serait d'ouvrir aux malheureux en peur, mais le maire s'interpose et conseil vivement de ne pas ouvrir. Suspicieux. Pourquoi? Il faut un moment à l'homme pour bien percevoir auditivement la source première du chaos parmi la panique soudaine. Le terme bombe a toutefois le mérite d'être difficilement ignoré (lui qui avait craint de s'ennuyer à la soirée, ses préoccupations n'avaient plus aucune similarité. ) Combien de temps sur la bombe? Cela devait être une question de secondes s'ils s'arrêtaient dans l'espoir qu'une porte les sauve plus efficacement que la distance. Le policier s'avança pour efficacement écarter le maire du chemin lorsque les coups de feu retentirent.

-À couvert!

Instinct, réflexe? Peu importe, Carlos agrippa rapidement l'homme pour le pousser derrière l'un des meubles, espérant que les deux autres s'étaient aussi abrités. Le danger explosif qui venait à peine d'être découvert était déjà surpassé par une fusillade unilatérale. L'agent Santiago n'avait qu'une table de billard retourner en défense et aucune arme à distance, armure, moyen de communication. Cela serait efficace s'il arrivait à lancer les boules de billard avec force sur les gorges de chacun des ennemis, mais cette possibilité semblait hautement improbable. Le niveau de stress parcourant l'entièreté de son corps lui donnait l'impression qu'il allait imploser plus efficacement que ladite bombe criée précédemment. Devait-il essayer de sortir par une fenêtre? La chute ne serait pas nécessairement mortelle, surtout effectuée délibérément. Cela pourrait-il attirer l'attention d'un passant au moins? Il pourrait prendre le risque de jeter la boule numéro 8 en espérant qu'elle atterrirait sur la tête d'aucun piéton. Il y avait des meurtriers à quelques pas. Les cris de douleurs et de chocs n'étaient que quelques gémissements angoissants. Carlos avait la responsabilité des civils, mais il ne pouvait franchement pas faire grand chose et son expérience était loin de le rendre apte à conquérir cette situation comme un pro. Son calme apparent le surprenait déjà alors qu'en réalité, les pensées parcourant son esprit n'étaient qu'une multitude d'alarmes rouges l'implorant de sauver sa peau.

Peut-être aurait-il pu planifier et avoir une stratégie minimalement fonctionnelle, mais entre les gens courant dans le couloir, la découverte vocale d'une bombe et l'exécution dans le couloir, il n'y avait qu'un flash de temps. Le policier pouvait à peine prendre une seconde pour observer qu'aucune personne dans le salon ne s'était pris une balle perdue traversant les murs. Le jeune adulte n'avait pris aucun souffle, implorant son cerveau de trouver l'enseignement magique qui règlerait tous ses problèmes quand la porte fut défoncée, brisant la serrure aussi efficacement que ses espoirs.

La plus grande surprise fut de ne pas rencontrer la mort qui lui avait envoyé une invitation il y a quelques années. Quatre personnes entrèrent dans le salon, habillé de façon chic comme le pourrait l'être tout autre invité excepter pour la cagoule gardant leur identité secrète. Aussi bizarre que cela soi, la situation semblait devenir une prise d'otage, les fusils charger en leur direction, mais pas encore utilisé contre le petit groupe. Carlos obéit sans protestation, le calme étant recommandé dans ce scénario où il ne pouvait ni fuir, ni demander de l'aide. Aucun de ses cris ne serait plus bruyant et effectif que le son des balles. Calme. Coopératif. Attends ton moment.

○ BY .LAUFEYSON POUR DETROIT: BECOME HUMAN. NE PAS REPRENDRE.

Résumé:

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“ Rien ne va „
feat. Participants

•••J’avais jouée le rôle de la méchante policière tandis que Sam pensait que le maire voulait se suicider. Il était tendre avec lui, il ne méritait pas une telle attention. J’avouais que j’avais été un peu trop directe avec lui, mais c’était ma façon de faire. C’était tout à fait naturel. Les Stewart sont reconnus pour parler de la sorte lorsque quelque chose les tracasses. Je croisais les bras observant tous les fait et geste de ce dernier. Sam était gentil avec lui, il cherchait à aider peu importe comment, mais le maire était sur la défensive. Il voulait cesser cet interrogatoire à son propos. Il n’était pas particulièrement reconnaissant que des gens s’inquiète sur son cas. Sam vint prendre les mains du maire disant qu’il ne fallait pas prendre le suicide à la légère et qu’il fallait accepter l’aide avant qu’il ne soit trop tard. Sage parole.

Une tierce personne entrait dans la pièce, fermant la porte derrière lui. Qui était-il ? Avait-il tout écouté ? Probablement… Il avait certainement attendu avant de faire son entré en scène. Il pouvait offrir son aide à ce dernier. Le maire disait qu’il ne voulait pas se suicider, mais que son portefeuille venait de le faire. Ah bon ? Qui l’aurait crû ? Pourtant le nombre d’argent que cette soirée avait amassée, où était passée toute cette argent ? Quelque chose clochait, c’était sûr… L’homme le mentionnait d’ailleurs, que la soirée était parfaite, la musique, la cause qui était juste. Finalement pour comprendre que l’argent ne lui revenait pas. Je savais que quelque chose n’allait pas.

En gros, le maire était ruiné, c’était lui qui devait payé le voyage de sa propre poche. Devrais-je le plaindre ? L’argent ne vaut rien, mais la vie d’une personne était bien plus importante. Quel personne égoïste, vraiment. On lui avait promis, mais il s’était fait avoir, comme nous tous d’ailleurs… Le jeune homme vint apaiser l’ego du maire. Il disait que ça se rattraperait et qu’il ferait beaucoup mieux sans les collaborateurs. Qu’il pouvait faire d’autres soirées. Ouais, il le rassurait de ce côté. La maire disait qu’il fallait mieux que ça, le remerciant de ces encouragements, que la prochaine fois sera plus splendide, en ajoutant s’il y aura une prochaine fois. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Une phrase à tendance glauque. Le jeune homme vint prendre place sur un des fauteuils présents. Il disait au maire qu’il y en aura d’autres, tout comme nous… Il ignorait nos noms.

“Claire.” disais-je en esquissant un bref sourire. “Claire Stewart.”

Je laissais Sam se présenter, s’il le souhaitait. Tout allait si bien, jusqu’à ce que l’on entende des bruitages de l’autre côté de la porte. Qu’est-ce qu’il se passait ? Mon coeur battait à cent milles à l’heure. Le maire nous disait de ne pas bouger, quoi ? Nous allons rester ici sans rien faire ? Il pensait vraiment à sa propre survie… Je me retenais de le frapper par moment. Dans un des cris, on pouvait entendre le mot “bombe” il y avait une bombe voir plusieurs ? C’était quoi ce bordel ? Je ne bougeais pas me mettant à fixer le sol. Je tenais fermement mon appareil photo. Des coups de feu retentirent. Le jeune homme disait de nous mettre à couvert. Je prenais un certain moment à comprendre ce qu’il se passait, mais je me cachais derrière un meuble qu’il y avait dans la pièce. Je n’arrivais plus à penser sereinement.

Mon regard se portait vers le maire… Une pensée pas très rassurante me traversait l’esprit. Une pensée follement égoïste, mais que je gardais pour moi-même. Reste calme, Claire, pensais-je. Je me souvenais la dernière fois que j’avais vu mon père. Il était allé à la banque et par malchance, il avait eu un braquage. Il a tenté de calmer la situation, mais l’un des gars lui a tiré dessus, sans raison valable. Il a juste tenté d’aider la femme. Il n’avait rien fait de mal. La même chose risquait de se produire pour moi, enfin, pour nous. Ce n’était pas quelque chose que quelqu’un voudrait vivre dans sa vie…

C’est sûr que ça allait rester gravé dans ma mémoire. Je posais mon regard vers Sam avant de baisser le regard. Dire qu’on venait tout juste de se rencontrer… Je l’aimais bien. La porte s’ouvrait, non, elle s’était faite défoncée par… Quatre personnes bien vêtues, mais avec une cagoule sur la tête pour garder l'anonymat. Ils étaient des invités à la soirée. Ils étaient armés, c’était eux qui avait causé ce grabuge ? Leurs armes se posaient sur nous. Ils nous ordonnent de se mettre en cercle. À contre-coeur, je sortais doucement de ma cachette rejoignant l’autre jeune homme. Pas de mouvement brusque. Je m’efforçais de ravaler mes larmes, pour garder mon calme. Je n’avais qu’une envie… Qu’ils périssent avec leur bombe. C’étaient tous ce qu’ils méritaient et je parlais uniquement ceux qui nous avaient pris en otage. C’était étrange, car ils pourraient nous tuer en un seul claquement de doigt. Pourquoi nous garder en vie ? Est-ce à cause de la présence du maire ? Il y avait tellement de question qui trottait dans ma tête, mais il n’y avait aucune réponse. Le seul conseil que je pouvais appliquer à moi-même était de fermer la gueule et suivre les directives de ces personnes armées. :copyright: 2981 12289 0

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Rien ne va

ft. participants

Était-il possible que j'avais tout faux et que le suicide n'était pas dans ses plans ? Pourtant, Claire avait semblé si certaine dans ces paroles. À moins que j'avais –encore une fois- mal interprété les paroles de la belle rouquine. Le maire précisait à Carlos qu'il ne voulait effectivement pas s'enlever la vie, mais que son portefeuille venait de le faire. Quel drôle d'expression pour mon intelligence androïde. Du coup, puisque personne ne semblait en danger, le rythme de ma respiration -inutile, mais esthétique- reprenait sa cadence habituelle. Le beau jeune homme dans la même pièce que nous, en profitait alors pour poser toutes sortes de question au quinquagénaire, que je n'écoutais malheureusement pas, trop concentrer à planifier mon mariage avec la rouquine et le latino ; la réception sera grandiose, il y aura beaucoup d'invités et plein de petits plats pour les humains. Ce serait tout simplement magnifique.

Je sortais de mes rêveries lorsque j'entendais plusieurs personnes en panique venant du couloir. La panique laissait ensuite place au chaos. Ma diode passait du jaune au rouge et semblait bien vouloir rester de cette couleur. J'avais peur de connaître ce qu'il se passait l'autre côté de la porte. On suppliait, on demandait de l'aide et le maire nous ordonnait de rien faire. Je ne pus imaginer ce que ressentaient mes fiancées lorsqu'elles se sont fait… abattre… lors de la Nuit des Massacres. Avaient-elles crié à l'aide ? Est-ce qu'on les avait aidées du mieux qu'on pouvait ? Mes signaux internes m'indiquaient que mon réservoir de larme se vidait tranquillement, j'avais les joues mouillées. Mes pauvres chéries…

Nous entendions quelqu'un crier à la bombe. Une… bombe ? Je sentais de l'engourdissement dans mes jambes. Que devait-on faire lorsque nous étions dans un tel danger ? J'essayais de me connecter rapidement sur Internet, mais rien ne fonctionnait. Oh la la… Je détestais ce sentiment d'impuissance qui me parcourait le corps. J'étais un androïde, je pouvais faire quelque chose. Mais quoi ?

Je restais pétrifier lorsque des coups de feu se firent entendent. En plus d'avoir une bombe, ces terroristes étaient équipés d'armes ? J'en avais assez de rester planté là, je devais faire quelque chose, et rapidement. Je regardais Claire un instant avant qu'elle baisse la tête. Avant de me diriger vers la porte pour l'ouvrir, j'en profitais pour m'approcher de la photographe, relevais sa tête avec mes mains et je l'embrassais en vitesse. À peine eu le temps de m'approcher pour ouvrir aux supplices, que la porte se faisait défoncer pour laisser entrer des types armés. Du sang. Il y avait du sang partout.

Et les corps inertes de plusieurs personnes.

(c) princessecapricieuse

Résumé:

» Groupe A ○ Rien ne va ○ ｢ Quatrième partie ｣
» Groupe B ○ Rien ne va ○ ｢ Quatrième partie ｣
» Groupe A ○ Bon appétit ○ ｢ Deuxième partie ｣
» Groupe C ○ Ça va faire BOOM ○ ｢ Cinquième partie ｣
» Groupe D ○ La bombe ○ ｢ Sixième partie ｣