Groupe C ○ « Tout va bien » ○ ｢ Troisième partie ｣

Date d'inscription : 24/01/2020

“ Soirée donation ○ Troisième tour „

“ « Tout va bien » „

Musique ; John Williams - March of the Resistance

LA RÉSISTANCE ! Que faites-vous ? Pourquoi n'êtes-vous pas dans vos pièces appropriées ? Le maire n'était pas prêt, il n'avait rien préparé pour vous, voilà donc pourquoi vous avez accès au couloir.

Vous vous retrouvez entre plusieurs employés qui vont jusqu'à courir dans les couloirs. C'est la panique générale, ils ont des sueurs froides et c'est clair que rien ne va. Ils ne vont pas bien, ils sont paniqués par ce qui suivra, ils vous poussent sur leur chemin en se dépêchant. Où vont-ils ? Que se passe-t-il ? Soudainement, le réseau cellulaire cesse de fonctionner dans l'entièreté de la bâtisse. @Carlos Santiago, alors au téléphone avec sa mère, voit sa conversation coupée. Il n'y a aucun réseau de disponible, peu importe comment il pourra chercher, même chose pour la connexion internet. L'électricité, elle, est fonctionnelle. @Samael HR400 et @Claire Stewart quant à eux se font foncer dedans par Arthur, le majordome. Il se retourne une seconde, insulté comme si c'était eux les coupables de cette altercation avant de se retourner pour continuer son chemin en les ignorants. Vous pouvez remarquer que tous les employés passant près de lui semblent effrayé par sa présence.

Finalement, vous voyez monsieur le maire sortir de la salle à manger, il marche rapidement dans le couloir en bafouant quelques mots. « Je suis ruiné, » murmure-t-il avant de voir les trois âmes vivantes dans le grand couloir. Il cligne des yeux, fronce des sourcils et quitte rapidement vers une autre pièce en serrant les poings. Il semble de mauvaise humeur d’avoir été croisé, mais vous voyez qu’il quitte vers le petit salon.

Spoiler:

Intrigue par @Irina Aslanov / Ladywinter;
Pour le forum Detroit: Become Human. Le renouveau.
Aucune copie ou reproduction permise.

○ BY .LAUFEYSON POUR DETROIT: BECOME HUMAN. NE PAS REPRENDRE.

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“ Tout va bien „
feat. Participants

•••Sans m’y attendre, une présence se plaçait derrière moi. Sa voix, je la reconnaissais, c’était Sam. J’avais à peine touché à mon repas, n’ayant pas très faim. Tout ce que je voulais était passé du temps en sa compagnie. Il me chuchotait en proposant de prendre les photos maintenant. Et pourquoi pas ? Il tirait ma chaise ainsi pour m’aider à me lever de cette dernière. Quel gentleman, dit donc ! Il me tendait sa main, que je prends avec plaisir avant de me lever. Il suggérait d’aller dans le couloir, qui était juste à côté, et que si j’avais d’autres idées qu’il était tout ouïe.

“Non, le corridor semble être un bon endroit pour prendre des photos.”

Nous avançons vers la sortie de salle à manger, qu’un brouhaha se fit entendre. Je tournais mon regard pour voir ce qu’il venait de se produire. Plusieurs trucs s’étaient brisés, lorsque quelqu’un avait déplacé la table pour rejoindre celle où que j’étais assise. Heureusement que je n’y étais plus, sinon mon appareil en aurait prit un coup de liquide et je l’aurais perdu. Mon souvenir de mon père. Ce n’était pas notre problème, car on avait autre chose à faire. Photoshoot ! Nous sortons de la salle, tout d’un coup c’était silencieux, ça faisait tellement d’bien à mes oreilles.

Nous étions dans le corridor, nous trouvons un coin tranquille pour prendre des photos. Je demandais à Sam de se mettre comme il voulait, les pose qu’il voulait faire c’était à lui de choisir, tandis que je prends plusieurs clichés. Tout se passait tellement bien, jusqu’à ce que l’on se fasse interrompre par… plusieurs employés qui passaient à nos côtés, qui couraient dans le couloir. Les mal élevés, non mais ! C’était quoi ces manières ? Ils ressemblaient au petit lapin blanc dans Alice au pays des merveilles, prétextant qu’il ne voulait pas arrivé en retard alors qu’il l’était.

Je me ramassais contre le mur protégeant mon appareil photo afin de ne pas l’abîmer. Mon précieux ! Ils semblaient en panique générale. Qu’est-ce qu’il se passait ? C’était étrange. Je haussais un sourcil observant Sam qui vivait la même chose que moi. Lorsque le troupeau passait, nous décollons du mur, mais on se faisait rentrer dedans. Par un homme, qui mesurait environs 1m75. Il se retournait vers nous, presque insulté. Quoi ? Il ne s’excusait même pas ? Quel manque de maturité celui-là. Il avait une des ses présences, car les employés avaient peur de lui. À mes yeux, c’était un homme parmi tant d’autre, enlevez-lui son statut et il n’était rien.

Un peu plus loin, monsieur le Maire sortait de la salle à manger, il ne semblait pas bien aller. Qu’est-ce qu’il se passait à la fin ?! Il marchait dans le couloir, là où que nous étions, car nous avons pas vraiment bougé depuis. Il murmurait qu’il était ruiné. Ruiné ? Qu’est-ce qu’il voulait dire par là ? Quelque chose clochait, cette réception était-elle une couverture pour quelque chose de bien plus gros ? Avons-nous été assez bête pour se jeter dans la gueule du loup aussi facilement. Le maire nous voyait, il ne s’attendait pas à ce que l’on soit présent. Trop tard, mon grand, tu es grillé, pensais-je.

Il clignait plusieurs fois les yeux venant à froncer les sourcils avant de quitter vers une autre salle. Il avait serré les poings. Il quittait vers un petit salon. J’haussais les sourcils tandis que mes pieds s’approchait de la salle, là où il était entré. Une partie de moi voulait enquêter, je ne voulais pas rester les bras croisés. Il était hors de question ! J’étais bien la fille de mon père, car il aurait fait la même chose que moi.

“Je ne veux pas rester les bras croisés” soufflais-je sans m’en rendre compte. “Je dois agir… Rapidement, avant qu’il ne soit trop tard.” murmurais-je arrivant proche de la porte.

Mon regard se détachait de la porte pour regarder Sam qui m’avait suivit.

“Il cache quelque chose… Sa réaction n’est guère normale.” disais-je doucement à l’attention de Sam. “Je crois que le maire nous doit une explication, ne croyez-vous pas ?”

D’une main je saisissais la poignée et étrangement elle était déverrouillée. Je tournais la poignée et ouvrait cette dernière, l’ouvrant assez grande pour que Sam assiste à la scène.

“Que se passe-t-il monsieur le maire ? Quelque chose vous tracasses ?” demandais-je en fronçant les sourcils.

“Rien de grave, rien d’important. Mais que faites-vous hors des salles à manger?”

J’ignorais sa question, du pourquoi nous étions pas dans la salle à manger. Je crois que Sam avait bien fait de nous faire sortir.

“Qu’avez-vous à cacher ?”

“Mis à part des choses qui ne vous concerne absolument pas mademoiselle, absolument rien.”

Rien que cette phrase le rendait coupable de quelque chose.

“Est-ce cette soirée n’était qu’une mascarade ?”

“Mais quel est cette idiotie? De quelle sordide évènements m’accusez-vous ainsi? Sommes-nous en conférence de presse, mademoiselle? Vos questions me troublent grandement.”

“Heureusement pour vous, je ne suis pas journaliste. Je suis une fille d’un avocat, donc pardonnez-moi si mes questions sont crues. Je déteste juste l’injustice, voilà tout.”

J’étais enflammée, je voulais connaître la vérité. Le maire cachait un truc et j’espérais que Sam le voyait également. :copyright: 2981 12289 0

Résumé:

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« Tout va bien »

ft. participants

Nous arrivons à trouver l'endroit idéal pour notre petite séance photo improvisée ; ce cadre en contraste avec le mur faisait un très beau décor et l'éclairage était parfait pour la caméra. J'adorais me faire prendre en photo, je posais tel un modèle professionnel sous l'objectif de la belle rouquine. Tout allait à merveille. Nous avions bien du plaisir tous les deux, riant entre les flashes de l'appareil, jusqu'à temps qu'on nous bouscule par un majordome effronté. J'étais davantage surpris qu'en colère ; disons que j'avais l'habitude de jouer un peu plus ferme avec certains de mes amoureux. Je regardais Claire, qui elle ne semblait pas tout à fait à l'aise avec le comportement de celui-ci. « T'inquiètes, on va se trouver un autre endroit plus agréable, » commençais-je à lui dire avant de percevoir monsieur de maire qui avait échangé son radieux sourire publicitaire contre une moue désapprobatrice. Je me retournais de plus bel vers ma ravissante partenaire de crime où je l'entendais se dire à elle-même qu'elle ne voulait pas rester les bras croisés. Bonne idée, nous pourrions aider le maire à aller mieux, lui qui semblait si triste lorsque nous étions toujours dans notre salle à manger. Nous nous dirigions vers la porte où le maire s'était précipité.

Maintenant près de ladite porte, Claire précisait en un murmure qu'elle devait faire quelque chose avant qu'il ne soit trop tard. Sur ces paroles, je regardais la jeune femme d'un air presque pétrifié par la surprise. « Tu crois vraiment qu'il… » J'arrêtais quelques secondes avant de reprendre : « Vraiment ? » Ma diode était maintenant rouge. « Il faut faire quelque chose, et vite. » La photographe ouvrait enfin la porte pour y voir un monsieur le maire isolé de tout. Ce dernier eu enfin le droit à une interrogation assez enflammé de la part de la rouquine. Mais était-ce vraiment nécessaire d'y aller aussi… directement ? Une chose est sûre, voire Claire comme ça ne me laissait pas indifférent, ça lui allait plutôt bien, son petit côté rebelle.

Une fois la petite séance de questions terminée, je prenais la parole, beaucoup plus doucement que Claire. Nous semblons faire la célèbre technique du "good cop/bad cop", minus le fait qu'aucun de nous était flic. Enfin, je croyais. Claire était peut-être policière, finalement. « Si vous voulez parler, n'hésitez pas. Je sais que c'est très difficile, être dans ce genre de situation, mais nous ne voulons pas qu'il arrive quoi que ce soit, vous comprenez ? Voulez-vous que je contacte la ligne prévention suicide ? Je suis complètement désolé, mais nous ne pouvons vous laisser seul. Avez-vous besoin de quelque chose ? »

Il ne tardait pas à me rétorquer : « Si j'ai besoin de quelque chose ? Ma foi oui ! Qu'on arrête de me poser toutes sortes de questions dont je ne comprends même pas l'origine. Mais qu'avez-vous tous ? Un peu plus et l'aide va s'y mettre aussi ! » Je me retournais pour regarder dans la direction qu'il pontait et mes yeux croisaient ceux d'un jeune homme (@Carlos Santiago) -qui m'était très plaisant à regarder-. Je lui faisais un petit sourire charmeur. Je me reconcentrais ensuite sure maire en lui agrippant les mains. « Il ne faut pas prendre le suicide à la légère, monsieur. Acceptez notre aide avant qu'il ne soit trop tard. »

(c) princessecapricieuse

Résumé:

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“ Let's give it all for the cause „

/dernière minute. Comme si quelqu'un avait mis le script dans les mains d'un spectateur cinq minutes avant la représentation... Je sais pas, c'est cette ambiance chic interpréter par quelqu'un qui ne sait pas reconnaitre la classe. C'est joli, mais c'est de la richesse étalée...hn hn, exactement... Ils ont au moins pu danser un peu. Je te jure que/ m'an?Est-ce que tu m'entends? Qu'est-ce que?

L'appel avait été rudement interrompu. Un peu de confusion et de mécontentement apparurent clairement sur le visage de l'homme qui regardait son téléphone désormais inutile. Il tenta de rappeler sa mère sans succès. Son père alors? Quelques manœuvres avec les touches obligèrent la conclusion malheureuse que le réseau était coupé, mais plus inquiétant encore, le système téléphonique. Les données personnelles avaient pris leur retraite. C'était inhabituel. Il n'y avait pas d'intempérie pour justifier des difficultés de connexion et même l'absence d'électricité laisserait au téléphone la majorité de ses fonctions, coupant efficacement le WiFi, mais pas le reste. Le véritable élément alarmant fut le passage du maire affligé parlant d'être ruiné. Le jeune policier serait mauvais à son travail s'il ne trouvait pas ce timing suspicieux même si pour l'instant le lien entre les deux événements n'était pas le plus évident. Carlos resta en retrait pour un moment pour observer l'agitation du personnel qui s'empressait pour passer d'une salle à l'autre. Toute bonne chose valait la peine de patienter et le latino ne croyait pas qu'un nombre plus important d'invités méritait un tel saccage d'énergie. Mauvaise organisation. Manque de temps? Tâche impossible à accomplir peut-être?

Outre que le "respectueux" personnage qu'était l'homme au pouvoir, deux civils pouvaient être aperçu le suivant dans une pièce. Cela ne ferait pas de mal d'écouter. Du duo, la femme était plutôt, maladroite dans son intervention. Surtout en manque de subtilité. C'était une méthode. Cependant, il y avait effectivement un truc caché. En même temps, c'était un peu la normalité de la politique. Ce qui n'était pas normal, c'était le déroulement de cette soirée. Un fiasco si l'on se fiait à l'état d'esprit du maire. Carlos laissa son épaule s'appuyer sur le cadre de la porte, observant la scène avec son meilleur visage impassible, celui qui pouvait rivalisé avec l'AX400 à son arrivée à la maison. La compagnie dérangeait clairement cet homme pauvre-si l'on en croyait son commentaire-. À l'étonnement de l'héritier Santiago, le second membre du duo civil intervint à son secours d'une façon peu orthodoxe. Le policier ne savait pas si c'était une ruse ou une véritable préoccupation, mais il pourrait suivre cette ligne directrice et adopter une attitude plus conviviale. Ça ne devrait pas être difficile vu sa propre personnalité et le bénéfice du doute planant effectivement sur l'interrogé. Cette bonne volonté se jeta toutefois par la fenêtre après avoir fui au dernier étage pour être certaine de ne pas survivre à la chute lorsque la désignation de l'aide fut prononcée. Va a cagar Cabrón. Il y avait une chance sur cent que ce n'était pas raciste et plutôt une référence au statut de policier de Carlos. Ce pourcentage était la seule chose empêchant celui-ci de ne pas abuser un peu de son propre système judiciaire en confondant l'irritation du maire pour de l'agressivité et justifier son intervention dans une action protectrice des civils. Quittant sa position précédente, le jeune Santiago fermant la porte derrière lui et la verrouillant ensuite. L'observation, certes superficielle, laissait à supposer que tout ce qui était dit resterait privé. Sauf pour l'option dictaphone du téléphone, bien évidemment.

-Je peux effectivement aider. En offrant de la protection par exemple. Discrètement si cela est nécessaire.

Innocent jusqu'à preuve du convaincre. Si l'homme était nerveux et avec des secrets, cela pouvait être à cause de chantage ou menace. Ce ne serait pas étonnant en vue de son statut social. Pourtant, celui-ci s'intéressa plus particulièrement aux propos de l'autre homme dans la salle. Ce qui était tout à fait juste, étant donné la gravité normale du sujet.

--Je ne vais pas me suicider! À la limite c'est mon portefeuille qui viens de le faire, pas moi jeunes gens.

L'argent était donc la piste à suivre. C'était très en accord avec sa déclaration dans le couloir et aussi, on ne va pas se mentir, avec la personnalité du monsieur. De plus, la soirée de ce soir était une collecte, l'argent avait le rôle prioritaire. Pourtant, le stress devrait être de ne pas amasser assez et de sembler inefficace. Juste les billets d'entrée devraient normalement couvrir les frais des dépenses. Carlos changea donc un peu de stratégie, devant plus curieux, comme le serait n'importe qui. Il devait aussi se montrer poli et peut-être réconforter l'ego irrité de l'interrogé tout en lui donnant l'impression qu'il ne s'agissait que d'une conversation anodine.

-Votre portefeuille? Mais la soirée accueille plus de donateurs que prévu non? Comment cela peut-il être une mauvaise chose? Après le souper tout devrait s'arranger. La musique est excellente et la cause est juste. Qu'est-ce qui pourrait donc vous tracasser alors pour être si certain quant à votre perte financière extrême?

--Mais rien de cet argent ne me reviens jeune homme, contrairement à ce que l'on m'avait promis...

L'argent aurait dû lui revenir? Le policier garda son corps détendu et ne permit pas à son visage de réagir à ses pensées. Le maire pensait donc qu'il pouvait s'approprier l'argent ramasser, sans la donner à la police donc et que tout passerait crème? Qui était le on? Carlos resta muet pendant la pause verbale, laissant l'homme hésitant continuer ses mots. Puis, la suite arriva et celle-ci n'apaisa aucunement le jeune Santiago.

--Je suis juste ruiné, car je dois payer le fameux voyage du tirage de mes propres moyens. On parle de 15 000$ tout de même. La soirée quant à elle est un succès, du plus que je puisse en avoir les informations puisqu'ils ne me disent rien.

Outre le fameux voyage vu comme une perte -et donc, qui allait se faire. La belle somme quand même. Beau voyage-, il y avait une nouvelle mention de personne externe ayant une influence sur le déroulement de la soirée. Donc il y avait à savoir: quelles informations? Qui? Quels pouvoirs avaient-ils sur le maire? Était-ce même son idée d'avoir organisé l'événement? Probablement pas. Le cher élu n'était pas un décideur, pantin qui s'apitoyait sur son sort sans se soucier des misères d'autrui. Les sens de l'agent de l'ordre étaient en alerte, son cerveau essayant de déterminer toutes les possibilités d'actions, de questionnement et de scénario possible puis de juger de la plus propice. Il fallait continuer à faire parler la détestable personne. En jouant l'insouciant, Carlos tenta donc de faire réfléchir son opposant, suggérant une délation stratégique en lui rappelant qu'il serait le seul à blâmer pour toute négativité. Un scandale ferait facilement tomber la carrière de celui-ci et si quinze mille dollars suffisait à l'affliger, alors il serait mieux de couper les pertes maintenant. Malheureusement, le jeune Santiago ne pouvait pas juste dire carrément ceci, tentant d'allé plus en douceur pour ne pas que son interroger se renfrogne et cesse d'échapper des aveux.

-oh, mais ça se rattrape tout ça. La prochaine fois vous ferez encore mieux sans vos..Collaborateurs? Commanditaire? Bref, les traîtres à qui vous ne devez rien. Vous ferez une autre soirée. Plus splendide que celle-ci. En indépendance. Je ne doute pas que vos idées sont meilleures que les leurs. Et puis pour tout ce qui arrive ici, les gens vont uniquement se rappeler que c'est grâce à vous. Vous êtes le responsable de ce succès.

Une nouvelle pause. Un sourire de la part de l'homme qui rêverait d'avoir son bronzage parfait au lieu d'avoir l'air de s'être roulé dans les cheetos en guise de préparation esthétique. Come on. Il n'avait pas traversé tous ces mots mielleux comportant des compliments pour ne rien recevoir en retour. C'était un énorme sacrifice que de parler gentiment sans lui mettre son pied dans la gorge pour être le fier distributeur du karma.

--Oui, je vaux beaucoup mieux je le sais bien. Je vous remercie pour vos encouragements, la prochaine fois sera splendide!

Tu peux toujours rêver. Déjà que j'avais pas voter pour toi. Une soudaine tension réapparue, une nervosité palpable que le policer avait cru avoir calmer quelque peu. Quelque chose venait de se déclencher dans la tête de l'hôte.

--S'il y a une prochaine fois...

Ça, Carlos en doutait fortement, mais c'était surtout une des choses les plus alarmantes qui auraient pu être dites. Dans le meilleur des cas, il semblerait qu'il y avait une fraude en cours ou quelque chose du genre. Dans le pire. Oh que la liste des possibilités était longue. L'enregistrement était mieux d'avoir capté cette parti plein de sous-entendue ou de paranoïa. Okay. Quelques secondes de respirations tranquilles. Il pourrait surement demander un véritablement interrogatoire dans les normes sans civils dans la pièce à la fin de la journée. Avec des gens plus qualifier. Moment de réflexion, autant profiter de l'endroit pour s'assoir sur l'un des deux divans.

-Bien sûr qu'il y en aura. Et je serais là tout comme..hn..je ne sais pas leur nom.

Il avait ignoré, même s'il avait été conscient de leur présence durant tous ses dialogues avec le maire, les deux autres civils jusqu'à ce moment, mais peut-être maintenant pourraient-ils faire connaissance. Aussi, c'était toujours plus culpabilisant de savoir le nom des victimes quand on était un connard, mais pas un vilain.

○ BY .LAUFEYSON POUR DETROIT: BECOME HUMAN. NE PAS REPRENDRE.

Résumé:

» Groupe A ○ « Tout va bien » ○ ｢ Troisième partie ｣
» Groupe B ○ « Tout va bien » ○ ｢ Troisième partie ｣
» Groupe C ○ Rien ne va ○ ｢ Quatrième partie ｣
» Groupe A ○ Rien ne va ○ ｢ Quatrième partie ｣
» Groupe B ○ La bombe ○ ｢ Sixième partie ｣