○ PRÉNOM : Charlene ○ PSEUDO : Nekotyo ou Nekochan ○ ÂGE : 28ans ○ PV, INVENTÉ OU SCÉNARIO : Inventé ○ COMMENT TU AS DÉCOUVERT LE FORUM : DC ○ TES PREMIÈRES IMPRESSIONS : Toujours en amour de ce forum ○ CE QUE TU PENSES DU JEU DBH : J’en suis fan, forcement ○ FRÉQUENCE DE CONNEXION : Le plus souvent possible ○ POUR LES PERSONNAGES INVENTES : NON!!! ○ UN MOT POUR LA FIN : Mouahahaha.
Bonjour. Je m'appelle Jake PRICE . J'ai vu le jour, le 25 decembre 2005 à Détroit , je suis donc Américain . Pour pouvoir payer mes factures, j'ai dû trouver un emploi, j’exerce la fonction d’ armurier . Côté coeur, je suis célibataire. J'adore comprendre le fonctionnement de chaque chose, êtres vivants fait de chaire ou de thirium, qu’importe..., et je déteste être dérangé !. J'ai quelques signes particuliers, qui sont : il m’arrive de porter des lunettes lorsque mes yeux fatiguent. Quand mon côté psychopathe reprend le dessus j’ai tendance à serrer frénétiquement les poings. Et pour finir, je me vois bien dans membre de l’opposition, forcement.. Merci, bonne journée à vous.
Caractère du personnage : Malveillant, sadique, lunatique, méticuleux, maniaque, schizophrène quand Phoenix arrive
“ This is our story „
Arrêtez de lire tout de suite si vous voulez voir une belle histoire, car la mienne commence par une prostituée.
Puisqu’il faut commencer par quelque chose autant parler du soir de ma naissance. Détroit, la rue, une putain... Quoi ? Vous vous attendiez à quelque chose de plus poétique, comme un couple attendant la venue au monde de leur précieux bambin aux joues roses dans une salle de maternité dernier cri que Detroit possédait à la pelle ? Pas de chance, cette putain, c’est ma mère. Et la rue mon berceau.
Neuf mois plus tôt, cette femme était en manque de cocaïne et n’ayant pas d’argent enfin vous aurez compris qu’elle a utilisé ses dons en nature pour avoir son sésame, auprès d’un type qu’elle ne connaissait même pas. Mais la nature s’était bien vengée puisque à présent, j’étais en train de pointer le bout de mon nez.
Des larmes des cris du sang et enfin MON premier cri.
Cet instant avait été le seul avec ma mère. Vous savez pourquoi ? Parce que je venais de la tuer. Comme je vous l’ai dit cette histoire n’est pas un conte de fée.
Donc, après lui avoir provoqué une hémorragie les cris alertèrent des passants qui alertèrent à leur tour les secours.
Me voilà, finalement admis dans un hôpital, seul et âgé de quelques heures. J’avais des substances dans le sang. Il avait fallu que la mère soit une toxico… Après avoir subi toute une batterie de tests, je fus adopté par une famille dans les mois qui suivirent. Ma mère adoptive s’appelait Eva, elle était professeure dans une école de quartier. Mon père adoptif quant à lui, se prénommait Simon et était horloger. J’ai grandi avec eux pendant mes huit premières années.
Ma mère m’apprit à gérer une maison de manière autonome et mon père, m’enseigna la précision. J’aimais beaucoup le regarder travailler dans sa petite boutique après l’école. J’observais tous ces petits engrenages, ces mécanismes aussi passionnants que variés. Je me disais que le corps humain avait, tout comme ces montres et horloges, ce petit TIC TAC qui raisonnait ; ce petit bruit pareil à un cœur et qui donnait vie à cet ensemble de métal…
Un soir de février, un groupe de policiers armés étaient entrés dans la maison. J’étais assis dans un coin de ma chambre, mes vêtements tachés de rouge. L’un des hommes en uniforme s’était accroupi face à moi. Il avait le sommet du crâne partiellement dégarni. Dans mes yeux d’enfant, il était simplement vieux. . Je ne savais pas pourquoi, mais il s’entêtait à me poser des questions. D’accord, je savais pourquoi…
« Et cet homme, il est rentré comment ? »
« Il a frappé à la porte. Et mon papa est allé lui ouvrir. »
Un collègue du policier était en train d’écrire chacun de mes mots sur un calepin. C’était amusant ce petit jeu. J’aurais aussi bien pu parler d’une meute de loup, mais ça n’aurait pas été aussi crédible…
« Maintenant, tu es en sécurité. Tu vas venir avec nous d’accord ? »
Je hochais la tête en silence. Il me prit par la main et m’aida à me relever.
Quand on traversa ma chambre pour atteindre le couloir, j’entendis le bruit d’une fermeture Éclair. Mon regard se posa sur ma droite. Sur un brancard, était posée une sorte de gros sac noir. Avant, ce qu’il y avait à l’intérieur faisait tic-tac...
Je sentis que l’agent essayait de presser ma marche, il voulait me préserver. Ha, s’il savait qu’en fait, il n’y avait jamais eu d’homme qui était entré dans cette maison, mais juste un enfant en quête de savoir. C’est assez amusant de voir que ses agents buvaient littéralement mes paroles. Après tout, qui soupçonnerait un enfant ? Je ne devais pas avoir suffisamment de force pour commettre une telle chose sur une personne adulte. Un second bruit de fermeture me sortit de mes pensées. Pardon, deux personnes adultes…
Flash-back : Ce soir-là mon père était encore au travail. J’avais attendu que ma mère s’endorme pour aller chercher un couteau dans la cuisine. J’ouvris délicatement sa porte puis alla m’asseoir sur le rebord de son lit. Je l’observais en silence. Seuls ses draps bougeaient au rythme de ses respirations. BAM Un coup, un gémissement d’agonie et plus aucun mouvement. Décidément, ce rouge me plaisait énormément. Je restai là, assis à contempler mon œuvre alors que les draps de ma mère se transformèrent en un linceul rougeâtre tandis qu’un sourire se dessina sur mes lèvres.
Tic-tac, tic-tac…. COUCOU…
L’oiseau mécanique accroché au mur de la cuisine, chanta dix fois. Il était vingt-deux heures. J’étais couché dans mon lit. Je savais que mon père allait rentrer du travail, il avait pris un peu de retard depuis le début de la semaine. Il lui arrivait de passer parfois me voir pour me dire bonne nuit avant de rejoindre ma mère. Visiblement pas ce soir. Je vis son ombre passer devant ma chambre puis aller vers la sienne. Je me levai discrètement pour atteindre ma porte, toujours fermée. J’entendis un cri d’effroi puis des pas revenir en ma direction. Là, ma porte s’ouvrît. BAM Un coup dans l’estomac.
« Papa, tu es défectueux. C’est maman qui l’a dit… »
En effet, le couple, se pensant seul à la cuisine (je devais normalement dormir.) avait eu une discussion la veille au soir au sujet d’un cancer fraîchement découvert sur l’Homme de la famille.
« P… Pourquoi ?.. »
Simon posa sa main droite sur le manche du couteau pour le déloger de sa blessure. Puis il laissa tomber l’arme à terre.
Quant à moi, je restais là à l’observer, haussant un sourcil.
« Quand c’est cassé, on enterre. Non ? »
Dans ma tête de petit garçon, un souvenir traversa mon esprit. Je me revoyais face à ma mère adoptive. Cette dernière enterrant Wooly, notre jeune chien renversé quelques heures plus tôt par une voiture.
Mon père adoptif, qui avait ses deux mains posées sur son ventre, gémit de douleur avant de se laisser tomber dans le couloir. Je m’agenouillai à ses côtés. Je n’avais pas remarqué le danger immédiatement. Ce ne fut que lorsque je sentis une douleur aiguë au niveau de mon bras que je compris que mon père venait, dans un geste désespéré me faire du mal avec le couteau que je venais d’utiliser sur lui. Par chance, ses forces l’abandonnaient et il lâcha son arme.
« Maman n’aurait pas voulu que tu partes sans elle. Maintenant… Dors… »
Fin du flash-back
Les flics ont gobé mon histoire. L’enquête finie dans les cold case faute d’avancée ou de véritable piste.
J’ai été placé dans une nouvelle famille jusqu’à mes 16 ans. Pendant ses huit années, je me suis fait discret. Les Taylor, c’était leur nom de famille, m’avaient tout offert. Le père de famille m’apprit le tir à l’arme à feu. Au pistolet pour commencer, pour faire comme les vrais hommes, il disait. J’étais assez doué… Je suivis des études en nouvelles technologies. J’aimais tellement connaître le fonctionnement de toutes choses que ça allez en devenir mon métier.
En 2024, à l’âge de mes 19 ans soit, deux ans après avoir quitté mes derniers parents, je réussis à signer un contrat chez Kamski. L’usine s’appelait Cyberlife. « Life »… Comme si, un robot pouvait vivre. Ce type, Kamski était brillant, mais fou. Jeune homme propre sur moi, je fus installé dans les sous-sols. Je devais aider mes collègues qui parfois pouvaient se trouver débordés (Nettement à cause des commandes en constantes augmentations). À force de me battre pour ce boulot, on me découvrit un don pour les erreurs systèmes ou les défaillances moteurs.
À mes 25 ans, on me proposa un bureau avec mon nom écrit en lettre argentées sur fond noir sur la porte «Jake Price ». Je détenais plusieurs informations concernant les modèles que fabriquait Cyberlife, et j’étais tenu au silence professionnel. Forcément j’ose à peine imaginer ce que cela aurait été si chaque bug d'androïdes avait été connu de notre chère clientèle... Mon boulot se résumait à répertorier les différents bugs de fabrication et essayer de trouver une solution pour réparer ses erreurs. Ce travail me rappelait un peu celui que faisait mon défunt père, horloger. Réparer des engrenages. TIC TAC Le seul problème, c’est qu’un jour, le 16 septembre 2037, mon cher travail, quelqu’un me l’avait pris. Quelqu’un c’était vite dit… Et oui. Me voilà sans emploi comme certains à cause de la même raison : ces foutues machines. Un androïde venait de me voler mon boulot. Je lui avais collé ma droite en plein visage et vous savez ce qu’il m’a répondu ? « La violence ne résout rien. Essayez de vous calmer, monsieur Price » Je ne savais plus si je devais rire ou bien pleurer.
La suite se passa comme dans les films américains, lorsque le Héro se fait virer. Une boite en carton, mes affaires à l’intérieur et ma tête figée par la rage. Je venais de franchir pour la dernière fois les portes de Cyberlife.
Par chance, j’eus le temps de mettre de l’argent de côté. Il fallait avouer que l’entreprise payait plutôt bien. Je pus m’offrir une boutique le 17 septembre 2037. Je vous vois déjà, « ho, tu es devenu fleuriste ? » Pas exactement. Je suis devenu armurier. À l’arrière de ma boutique j’ai même investi pour un stand de tir. Au moins je suis loin de ses répliques humaines à présent.
Je ne me souviens plus exactement, mais en septembre 2039 mon esprit reparti à la dérive. C’était un jeudi, je venais de fermer la boutique ayant terminé ma journée de travail. Depuis le matin, ma tête était ailleurs. Dans mon passé. Au cœur des rouages et du thirium… Tic-tac… Sans vraiment faire attention, mes jambes m’avaient amenées non loin des portes de cyberlife. Là, plusieurs ouvriers finissaient eux aussi leur journée. Humains, machines tous rentrés chez eux. Je dus attendre une vingtaine de minutes avant de voir celui que j’attendais finalement sans m’en rendre compte. Cette chose, celui qui avait pris mon boulot, celui qui me faisait me sentir important ! Une sorte de décharge m’envahit. Il n’y avait plus personne excepté lui et moi. Je me décidai enfin à sortir de ma cachette. D’un pas sûr, je m’approchais de lui sans le quitter du regard. Ce tas de ferraille m’écœurait pourtant une once d’excitation me gagnait. La même que celle que j’avais ressenti lorsque j’avais tué mes parents adoptifs… Mes pas devinrent plus rapides. Arrivé à sa hauteur, un son un seul se fit entendre : un coup de feu. La balle de mon Smith et Wesson 1911 lui traversa le crâne. Plusieurs goûtes bleues tachèrent mon visage. Je sortis ensuite mon briquet et mis le feu à ses vêtements. Inutile de préciser que le coton flambe bien. Je fis demi-tour alors que la masse mécanique s’écroula. Je venais de me venger. Et ce fut jouissif.
Pendant un mois, je décima huit androïdes, dont deux autres qui travaillaient à Cyberlife. Mon mode opératoire était toujours le même : une balle, et je l’immolais, parfois en pleine rue le soir, ou dans le parc à la tombée de la nuit. J’y prenais un réel plaisir...
Un mois après m’être rendu justice, j’eus la surprise d’y voir deux types masqués. Visiblement, ils m’attendaient. Les deux inconnus m’informèrent qu’ils connaissaient mon passé enfin les grandes lignes et surtout mon parcours professionnel. Ils savaient pourquoi je ne travaillais plus chez cyberlife. Et enfin, ils m’avouèrent qu’ils m’avaient vu abatte de sang-froid l’androïde responsable de mon renvoi. Étrangement, ils étaient ravis par mon geste. Là, mon intérêt grandit encore.
Je les invitai à entrer dans ma boutique histoire d’avoir plus de tranquillité. Ils m’apprirent qu’ils étaient issus d’un mouvement qui s’appelait « l’Opposition ». Ils ne l’avaient pas cherché bien loin… Ils me disent qu’ils faisaient parti d’un groupe militant anti-androïde. Pour la première fois depuis longtemps, je me mis à sourire. Pour finir, ils me demandèrent si je voulais être des leurs. « Évidemment ! »
J’accomplis beaucoup de missions. Notamment un soir, qui avait pourtant bien commencé : j’aidais à prélever (de manière pas vraiment légale) des pièces androïde avec trois autres membres de l’opposition, quand on se fit repérer. J’eus à peine le temps de pousser la personne devant moi, lui évitant une balle dans la tête. Sauf que cette même balle vint se loger dans mon épaule gauche. La douleur fut bien évidemment au rendez-vous. Mais ce fut qu’à cet instant précis que je me suis senti véritablement vivant.
Un jour, le 12 octobre 2039, je fus convié à une réunion pour le moins intéressante…
La mission que l’on m’avait donnée était de fournir en armes et déposer plusieurs corps. Ha oui est-ce utile de préciser la date ? Très bien. C’était pour la nuit du 21 novembre 2039. Une certaine nuit des massacres.
Je trouvais ce jeu amusant. Je pouvais enfin me venger. Et parfois, je m’amusais à prélever des pièces sur mes victimes. À croire que je suis toujours en quête de ces tic-tacs. À présent, au sein de l’opposition et des médias, j’étais connu sous le pseudonyme de « Phoenix ».
Ma vie jonglait entre mon magasin et mes petites affaires pour l’opposition. N’oublions pas que j’ai d’excellentes connaissances au sujet des androïdes. Choses qui pouvaient être utiles par moments.
En janvier 2040, je fus présent lors de la commémoration. Je ne fis aucune victime. À dire vrai, je n’étais même pas armé... Je voulais uniquement être vu et innocenté en cas de tumulte.
○ BY .LAUFEYSON POUR DETROIT: BECOME HUMAN. NE PAS REPRENDRE.
Dernière édition par Jake Price le Dim 12 Juil - 20:17, édité 49 fois
Il y a, tout de même beaucoup de fautes d'orthographe...Et tu connais l'avis des admins dessus. Si tu as besoin d'aide, n'hésites pas à demander!
Autre problème c'est que l'on ne voit pas du tout Kamski dévoiler ses secrets à un nouveau venu quand on connait son caractère. Même les personnes les plus proches de Kamski ne savent pas ce qu'il a en tête et c'est pareil avec les Opposants. Le fait qu'ils font leurs actions avec des masques et affublés de pseudonyme annonce suffisamment la couleur.
Maintenant plus technique c'est qu'on se demande pourquoi tu as écrit le nom de famille en majuscule? et avant de faire le recensement du DC, il faut attendre la validation. Avant cela, les seuls "endroits" où on a droit de poster sont la fiche et le flood d'intégration.
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Sujet: Re: Hellcome in my Life Dim 5 Jan - 21:47
Coucou Je viens de faire les modifications :) Pour le nom en majuscule, désolée c’est juste une vielle habitude. Vous pouvez remettre en minuscule