Fake name and sanity

Date d'inscription : 01/06/2020

what about my identity is real anymore?

Are you bored of hiding?

L'ennui était impartial et n'en avait rien à faire du passé tragique de ses victimes. Malgré l'état de stress constant d'habité avec un meurtrier sans loyauté envers lui, Adrian avait réussi à s'ennuyer dans son ancienne situation et déplorait revivre cette sensation dans le présent. Ce concept de déviance n'était qu'une absurdité sans explication, car normalement, il devrait être épargné d'un tel état. Pourtant, l'androïde était cloitré dans une chambre sans intérêt à devoir attendre pendant que sa complice humaine se faisait plaisir à risquer sa vie ailleurs. L'extérieur était dangereux selon elle. C'était très faux. En fait, Adrian avait plus souvent été détruit dans les maisons de ses propriétaires qu'à quelconque endroit. La sécurité était une illusion dont il n'avait pas le luxe. Donc, comme il était illogique de rester en sécurité, puisque c'était un mensonge, il allait prendre ce temps solitaire pour activer les impulsions de son rôle de déviant.

La machine défiante sortit de la chambre avec le défi personnel de trouver un intérêt au lieu. La déception fut toutefois rapide. Outre la réception, il n'y avait pas d'espace commun ou diversité. Une multitude de chambres et des stationnements constituaient le service offert. Rectification, il y avait des distributeurs. Acceptant l'impulsion d'une pensée soudaine, Adrian activa la machine à glace sans mettre de réceptacle au préalable, regardant l'eau gelée se répandre sur le sol. Ennuyant. Ouvrir des paquets de friandises sur le sol pour les insectes ne l'occupa que brièvement. Une femme s'offusqua de son errance devant les chambres et lui offrit la possibilité d'user du langage des signes universels en lui dévoilant son majeur. Cette action était malheureusement le "hype" de sa journée. Pour le reste, l'androïde se contenta de rejouer sa mémoire des films et chansons dans ses données jusqu'au retour d'Irina. Bref, des heures trop banales.

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Plus aucune chambre n'avait le numéro approprié à sa porte. Il y avait désormais deux désignations par le chiffre 9 et l'absence du 6. L'internet surnommerait ce genre d'agissement une farce inoffensive. Pour Adrian, il s'agissait d'une perte de temps trop court. Il y avait certainement quelque chose de réalisable avec les nombreuses voitures. Le dégonflement d'un pneu par manque de bouchon était atrocement long. L'idée était ainsi abandonnée après un seul essai. L'androïde avait été inconsidérable de son propre corps quelques minutes à simplement être couché sur le sol à regarder fixement le sol sans le moindre oiseau. C'était déplorable. Le gémissement d'agacement qui suivit dura plus longtemps que les capacités pulmonaires humaines. [Act deviant] Ce n'était pas suffisant? Phase deux: entrainement au flirt avec des passants.

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-Monsieur Olsen, j'allais justement vous appeler. Il y a une livraison pour vous.

Assumant que le nom était un subterfuge d'Irina, l'androïde accepta l'interpellation et le colis avec un remerciement murmurer et s'éloigna de la réception et renonça à son plan d'infiltrer une chambre vide pour en faire un refuge de raton laveur. Adrian laissa tomber le paquet sur le lit double, observant le carton un moment. La résistance ne dura que trois secondes avant qu'il permette à la gravité de le manipuler à son tour sur le matelas où il déchira la boite. Pourquoi Irina avait-elle fait livrer des provisions sous la fausse identité de l'homme? La mauvaise surprise inutile pour lui le dépita momentanément. Son attention alla vers Kokoro, espérant un certain soutien de la part de la poule clandestine. Sans succès. La boite fut déplacée sur une table de chevet presque sans second regard. Un froncement de sourcil indiqua sa confusion boudeuse en remarquant la viande séchée parmi la commande. Ce n'était définitivement pas pour Irina. Ni lui. Ni Kokoro. Oh, le réceptionniste avait dû le confondre avec quelqu'un d'autre. La moralité bienveillante voudrait qu'il rectifie l'erreur et cherche le véritable acheteur. Adrian n'avait rien de cela et poussa donc la boite sous le lit pour s'en préoccuper plus tard. Sortant à nouveau de la chambre, la machine activa une nouvelle recherche sur l'alimentation des ratons.

code by Silver Lungs

@Mitchel Olszewski Fake name and sanity 3722042244

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La mission était simple, trouver un logis où il pourrait passer du temps afin d’enlever des suspicions sur son père et mieux encore trouver un terrain d’entente avec Maddie. C’est là qu’il était tombé sur le motel où travaillait, heureusement pour le déserteur, une ancienne collègue de son lycée. La jeune adulte lui souriait quand il s’approchait en demandant sa clé de chambre avant de lui faire un clin d’œil. « Qui aurait cru que le nerd que tu étais finirais dans un trou pareil. » avait-elle mentionnée de sa voix cristalline. « T’étais aussi pauvre que nous même si tu nous prenais de haut. » Il abaissait la tête en affaissant ses épaules. Voulait-elle une joute verbale avec le militaire? Il n’en serait rien, mais plutôt que d’essayer de se défendre, il favorisait un silence qu’elle reconnaissait très bien. « Ne t’en fais pas ‘Olsen’. Ton secret sera bien gardé ici. » finissait-elle joueuse. Elle ne lâchait pas de passer ses doigts élancés sur la main de Mitchel qui se rétractait aussitôt en la dévisageant. Elle haussait les épaules comme si rien n’était. C’est comme ça qu’il avait eu sa clé, la chambre vingt-deux à son service, bien que ça coûtait la peau du cul surtout pour Détroit. Les jours passaient et Mitchel faisait des allés et venus de plus en plus rare. Il essayait, après tout, de ne pas attirer l’attention sur lui et ne favorisait pas des visites trop fréquentes au même lieu. Il n’était pas question qu’il soit capturé et envoyé à la peine de mort sans avoir eu son audience avec Markus. Le problème c’est que le seul homme pouvant pencher, s’il le voulait, la balance dans le cas du déserteur était premièrement introuvable et secondement bien trop gardée. Mitch commençait à baisser les bras, se disant qu’il ferait peut-être mieux de retourner au Canada, mais il ne pouvait simplement pas envisager ne pas gagner la garde de son enfant.

« C’est quoi ton foutu problème Olsen? » s’écriait une des résidentes semi-permanentes du motel. « Tu me fou un doigt d’honneur et là tu te promène encore devant chez moi quand je t’ai prévenu que j’allais appeler les flics ?! » Oh merde. Attend quoi? Oh, mais, comment? Mitch n’avait pas trop le temps de réfléchir avant de monter les quatre marches restantes jusqu’à sa porte pour s’y introduire tel un plongeur aquatique entrainé pour les Olympiques.

« On n’appelle pas les flics madame Hursley. Vous allez plutôt m’expliquer calmement ce qui s’est produit, okay? » disait le déserteur l’haleine courte suite à son saut. Faudrait qu’il recommence son jogging matinal… « J’ai fais quoi et quand exactement? » Bien que ça voix ne démentait pas sa surprise, il n’aurait pas été étonné d’avoir eu un autre ‘épisode’ de somnambulisme dont Meredith lui avait parlé.

La discussion allait durer vingt minutes interminables avant que Mitchel ne comprenne ce qui s’était produit. Apparemment que, barbe rasée et vingt kilos de gras en moins selon madame Hursley, il s’était mis à avoir un comportement louche et suspect depuis quelques jours. Ça ne pris pas un long calcul pour que le jeune militaire comprenne qu’il devait s’agir d’un androïde ayant ses traits juvéniles, surement récemment déviant à voir la réaction de la vieille dame, qui faisait des bêtises. C’est pour cela que Mitchel avait répondu « Je vais m’occuper de mon petit frère, toutes mes excuses. » sans penser aux conséquences possibles de ses paroles. Il fini par attendre à l’extérieur, cacher à l’abri juste à côté de la machine à glace, surveillant chaque chambre afin d’avoir le moindre signe de celui qui était coupable de fraude d’identité. Il aurait attendu longtemps si la réceptionniste n’était pas venue dans tous ses états en disant « Monsieur Olsen, je suis tellement navrée, j’ai envoyé votre colis à la chambre six par erreur. Voulez-vous que j’aille la chercher […] » puis elle se confondait en excuse alors que Mitchel détournait la tête pour se rendre à la fameuse chambre.

*toc toc toc* fit-il poing fermé contre la porte avec une force impressionnante. Il ne disait pas un mot, il attendait, aussi patiemment qu’il le pouvait.

(@Adrian Je suis temporairement sans code car je n'en trouve pas qui ne font pas mal aux yeux dans ma base de donnée )

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L'humanité ne faisait pas parti des fonctions d'Adrian, le bruit soudain ne le fit pas sursauter, bien qu'il fut surpris de la maltraitance que subissait la porte de la chambre. Quelqu'un était manifestement d'humeur négative ou voulait être certain d'être entendu. La machine ne bougea pas de sa place sur le lit, attendant que la personne requérant son attention s'annonce ou déclare ses intentions. Il y avait probablement quelqu'un d'hostile derrière la paroi de bois, mais pas suffisamment pour détruire la porte avec l'objectif de l'atteindre et lui nuire. Il y avait la possibilité que son potentiel agresseur soit trop paresseux ou incompétent pour ne pas pouvoir triompher de l'obstacle. Que faire? Irina ne lui avait aucune instruction en cas de confrontation à distance. De plus, sa personnalité déviante était toujours d'humeur plus espiègle que prudent.

[Altération des paramètres vocaux.][Modification de la voix principale][Sélection du fichier sonore: Irina Aslanov][Modification enregistré]

-Too soon! I'm not ready!... проклятие! how did you find the dolphin so quickly?

Adrian n'avait aucune intention d'ouvrir à un étranger et c'était impossible qu'il s'agisse d'une connaissance. Seule Irina connaissait cette localisation et les employés s'annonçaient automatiquement et n'essayaient pas de défoncer la porte par la seule force de leur volonté. L'androïde tentait donc une imitation qui, outre la voix, n'était pas si fidèle. Il voulait qu'elle confonde, et pas uniquement pour lui, et soit trop tenace pour tenir une conversation. Le sous-entendu pour rebuter certaines personnes venant s'acharner seulement pas mécontentement trivial. Cette stratégie n'était pas optimale, faute à la déviance, mais pourrait peut-être l'amuser un peu. La machine restait avec trop de flegme sur sa position, le regard sur le plafond alors qu'il recherchait en annexe le meilleur moyen pour faire fuir les indésirables. Le premier résultat mentionnait des affiches plus que des mots. Trop tard pour ce cas particulier. Toutefois, idées inspirantes pour passer le temps. Ensuite la recherche n'avait que des suggestions lier aux animaux. C'était aberrant. En 2040, impossible d'être raciste envers les humains facilement.

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Traduction:

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Après avoir toquer à la porte trois fois de son poing ferme ainsi que colérique il entendit une voix qui lui fit cligner des yeux trois fois de suite par incompréhension. Venait-il d’entendre du russe? Ou du moins une langue slave se rapprochant de sa Pologne éloignée. Mitchel ne savait pas trop quoi répondre, ouvrant la bouche puis la refermant, se rappelant qu’il était dans un lieu tout approprié pour les filles de rues. Sa tête tournait à vive allure alors qu’il réfléchissait à la meilleure réponse. Peut-être qu’elle attendait un client? Peut-être qu’elle avait plus besoin que lui de la nourriture dans son paquet. Il grimaçait dans un faible grognement. Bien sûr que non! C’était à lui, alors il se devait de le reprendre, quoi que cela n’explique pas l’erreur lors de la prise de colis. Comment avait-elle pu le confondre avec une….

« Je ne veux pas vous déranger longtemps. » débutait-il d’une voix agacée, mais tout de même calme venant de lui. « Vous ou votre ami […] » il grommelait un peu, ne sachant même pas ce qu’il allait enfaite dire. « Enfin quelqu’un aurait pris mon colis par erreur. Je venais juste le reprendre, pas de mauvais sang entre nous, si ça ne vous dérange pas. » mais il se doutait que les voleurs seraient dérangés au contraire. Après si ses soupçons étaient réels et qu’un androïde avait voler son paquet, alors qu’elle était l’utilité de le garder outre si l’androïde nourrissait un humain. On repassera sur la légalité de la machine en ces lieux qui les interdisaient malgré les lois de libérations, parce que lui-même avait habitude d’emmener Meredith en ces lieux lorsqu’il sentait l’étau se serrer sur leur gorge.

Il ne savait pas trop quoi dire d’autre, s’il devait poursuivre, insister ou juste partir. C’était sérieusement compliqué et qui plus est; extrêmement inconfortable pour lui de possiblement se retrouver devant un de ‘’ces’’ androïdes. Mitch choisissait de cogner une nouvelle fois. « Hey, oh? Y’a quelqu’un là-dedans? » s’exprimait-il un peu plus en colère que précédemment. « Je veux juste ce qui m’appartient, après on n’entendra plus jamais parler de moi. » poussait-il dans un soupire de mécontentement plus qu’évident. Il jura entre ses lèvres. Reculant d’un pas, croisant ses bras, sa patience n’était pas vraiment légendaire surtout dans les circonstances actuelles. « Aller! Je n’ai pas toute la foutu journée! » marmonnait-il alors que son sang commençait à bouillir dans ses veines. Il avait été capable de se fâcher tout seul…c’était un exploit.

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La voix accompagnant les précédents coups sur la porte surprit l'androïde puisqu'elle était identique à sa sonorité de base. Les inflexions étaient différentes ainsi que l'intonation et les intentions derrière le choix de mots, mais la ressemblance était indéniable. Adrian resta silencieux pour un moment. Il entendit les paroles de l'inconnu dont la voix expliquait la confusion de l'employé si le visage subissait le même traitement. L'impulsivité avait pris un peu de retrait face à cette nouvelle information, les possibilités étant largement modifiées. Puis soudain, l'insatisfaction ne daignait plus s'allié de politesse et le ton démontrait la tension s'élevant derrière la porte. S'il n'avait pas été une machine et donc en parfait contrôle de ses réactions, celui-ci aurait pu rire face à l'absurdité de la situation. L'androïde avait eu son entière existence persécuter par la peur de la mort et après l'avoir trahi, les dangers n'étaient plus que des futilités. C'était peut-être immoral, malsain, irrespectueux ou simplement mesquin envers le cogneur de porte, mais Adrian allait tenter de conserver son plaisir.

Commençant par pratiquer le roulement yeux expressif de l'humanité en attendant la question idiote, l'habitant de la chambre garda soigneusement le silence pour faire s'impatienter davantage l'individu perturbateur. Kokoro s’était éloigné de la salle de bain, sa présence étant la seule culpabilité que pouvait éprouver l'androïde qui n'avait pas voulu perturber son amie. Il eut aussi une pensée rapide pour Irina. Juste Irina et le fait qu'elle existait. À travers la paroi gardant son identité secrète, une autre protestation se faisait entendre. Cet homme avait un problème d'interaction social. Et certainement plein d'autres lacunes.

-Hey hey, man! Sorry, but you didn't use the password. You seem very stress and it will be my pleasure to take care of your package, which I'm sure is very big, but ease up.

C'était subtilement grossier. Parfait. Il était très facile de faire des insinuations. La machine espérait que ses propos pourraient décontenancer plus fortement son interlocuteur. Le ton désinvolte et enthousiaste qu'il interprétait par la voix d'Irina lui rappelait cependant une certaine journée maudite. Cela faisait réfléchir Adrian sur son identité et le fait qu'il devrait peut-être aussi avoir un autre moi en public. Il ne pouvait définitivement pas se présenter discrètement sous son véritable nom. Ce serait une activité pour plus tard. Pour l'instant, l'androïde devait s'occuper de son homme.

-Just say the magic word and I will make all your problems disaparate in whatever hole you desire.

Ironique, car Adrian avait effectivement de l'expérience dans ce domaine, même s'il s'agissait plutôt d'élimination de preuves. Le mieux, si l'on voulait impérativement creuser, était d'enterrer les victimes dans des cimetières peu visités. Avait-il était enterré ou jeter dans une fosse? Recycler? Peut-être serait-il plus chanceux maintenant et pourrait réussir à garder sa jambe numéro quatre. Il ne serait cependant pas surpris d'être informé que son visiteur exprime son désir ardent de lui briser.

Traduction:

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Peu importe qui était derrière cette porte voulait décidément énerver le jeune adulte. Il expirait profondément en fermant son poing, cette personne (femme, il semblerait) ne cessait de faire des allusions vulgaires alors que Mitchel avait pourtant mis au clair dès le début ses intentions. Il voulait uniquement reprendre son colis, rien d’autres, pas besoin d’en faire une scène. Deux options se présentaient donc devant lui; 1) abandonner et simplement aller au supermarché acheter ce qui manquait. Perdant ainsi son argent et probablement sa masculinité, car il n’était même pas capable de confronter une personne pour obtenir ce qui lui revenait de droit. C’était à lui aux dernières nouvelles, ce même si le colis avait clairement été volé, ce qui en soit était un crime fédéral…on évitera cependant d’emmener les agents fédéraux dans cette histoire. 2) continuer de cogner à la porte, voir la défoncer au besoin afin de découvrir qui au juste se trouvait derrière cette porte et reprendre son colis. L’option 1 et 2 étaient dangereuses en elles-mêmes. L’argent ne coulait plus de source maintenant qu’il était de retour aux États-Unis et il peinait à arriver à la fin du mois sans se battre avec son ex. S’il avait été au Canada, ça aurait été une tout autre histoire, puisque ce n’était pas les billets qui manquaient à son compte en banque lorsqu’il travaillait à en perdre sa vie sur les pétrolières. Vous n’avez cependant pas besoin de l’histoire en entier, celle que l’on racontait était plutôt à propos d’un homme extrêmement impatient devant une porte qui ne voulait simplement pas s’ouvrir.

« Okay ‘lady’, je ne vais pas passer par quatre chemins. » s’éclaircissait-il la voix dans une rage naissante. « Je ne suis pas un de vos clients. Je veux mon colis, point barre, on passe à un autre FOUTU appel. » il bouillonnait de l’intérieur, ses mots sortants plus vite que le venin d’un serpent enragé. La patience n’avait jamais été son fort, mais c’était clairement pire qu’avant. « Tu m’ouvres ou je fais venir la police, ce n’est pas trop compliqué! » il tournait sa langue dans sa bouche une seconde avant de réfléchir au prochain mouvement qu’il pouvait faire. « Ce serait dommage que quelqu’un déclare votre androïde illégale…surtout dans ce motel. » menaçait-il, à l’entendre il mettrait sa menace à exécution. Personne ne pouvait savoir qu’il ne mentait puisqu’heureusement personne ne le connaissait. « Donc…on fait ça entre nous ou pas? »

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L'humain tourmenté par la voix d'Irina s'obstinait à la porte, cherchant encore à recevoir un colis ou un minimum de respect. Adrian n'avait rien en stock. L'androïde continua son acte de déviant avec amusement, sans pitié pour la brute qui était plus dans la colère que le malaise. Ce n'était pas exactement l'effet désiré, mais la pure délivrance de pouvoir agir de cette façon gardait la situation positive pour la machine. Son corps artificiel, les leçons de la policière et la 'déviance' lui donnaient l'arrogance de pouvoir vaincre quiconque voudrait défoncer la porte. Ou alors c'était l'échec de son instinct de survie. L'AX400 modifié rit de façon audible lorsqu'il y eut la mention du mot police. Si l'homme voulait vraiment faire intervenir la loi et l'ordre, Adrian avait un numéro en accès rapide. Toutefois, la gaieté l'habitant s'écrasa quelque peu à la menace suivante. Ce n'était définitivement pas apprécier. Bien. Il était maintenant d'agir en vrai androïde libre et déviant et d'agir avec impulsion. Se serait très humain de sa part d'agir avec violence, ouvrant la porte et mettre un coup de poing au visage de son opposant. Cela pourrait évacuer quelque pourcentage de la rage accumulé par l'androïde tout au long de son existence. Il ne devait plus agir selon les règles et prendre soin des êtres biologiques. La machine pouvait engendrer des dégâts, infliger de la souffrance et nuire sérieusement à autrui. Sa tête voyait déjà rouge perpétuellement tout comme la symbolique pour la colère. Il n'y avait rien d'amusant à cette émotion. L'androïde l'effaça pour revenir à un calme superficiel. Son codage envoya un message à Irina la prévenant du harcèlement.

Adrian bougea rapidement dans la chambre, sécurisant Kokoro dans la salle de bain et récupérant le paquet si important à l'inopportun. Il allait y avoir une petite vengeance. Ouvrant la boite et la fenêtre la plus éloignée de l'entrée, la machine défectueuse se mit simplement à jeter chaque chose du deuxième étage. Il n'y avait absolument rien de rationnel. Rien à être fier. Ce survivant avait le malheur de constaté n'avoir aucune satisfaction, ce qui le fit cesser avant que sa cargaison soit vide. Lui se sentait vide. La colère était mieux. Cependant, même si l'homme était rude, mauvais, clairement instable, il n'était pas celui méritant ses pensées vicieuses.

-Leave me the fuck alone!

[UNSTABLE]
Instable. Vieil avertissement. Son codage marquait l'évidence à travers ses circuits, réduisant tout à un seul mot qui respectait la nouvelle loi suprême d'être déviant.

[ALTÉRATION DES PARAMÈTRES VOCAUX][VOIX PRINCIPALE PAR DÉFAUT RÉTABLIE]

Traduction:

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