I will help you to find a way {ft.Carla Ax400}

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I will help you to find a way
feat. Carla Ax400 ••• Une autre journée débutait et bizarrement je me réveillais avant mon alarme. Je m’assoyais sur mon lit venant à fixer le vide. Je prenais une longue inspiration avant de passer une main au niveau de ma nuque. Je prenais mon téléphone pour éteindre la fameuse alarme pour ensuite me lever et y faire mon lit. Je filais vers la salle de bain pour prendre une douche et me préparer afin de recevoir ma première cliente du jour. Une androïde récemment déviante à la recherche d’un moyen d’aller “mieux” avec tout ce qu’elle a traversées. Comme à mon habitude je ferais tout pour l’aider.

Je fermais l’eau de la douche m’enroulant dans une serviette avant de me sécher. Je séchais mes cheveux et je me dirigeais vers ma chambre pour choisir mes vêtements que je porterais pour aujourd’hui. J’optais pour une blouse blanche avec une veste en suède grise ainsi qu’un pantalon propre noir. Pour mes pieds, j’optais pour des escarpins noirs. Je me maquillais que très légèrement, rien ne servait à être trop maquillé pour ce genre de rencontre.

Une fois préparer, j’allais vers la cuisine pour me préparer quelque chose à manger avec une bonne tasse de café. C’était une toast avec de la confiture de fraise. Ce n’était pas un déjeuner de luxe, mais ça me remplissait bien l’estomac. Je terminais de déjeuner et j’allais voir mon frère qui venait de se lever. J’esquissais un doux sourire.

“Ça va Jer ?”

“Ouais et toi ?” disait-il en se tournant vers moi. Il baissait son regard vers mes vêtements. “Tu es belle, comme toujours.”

“Flatteur.” répondais-je en ricanant légèrement. “Mais merci, Jeremy.” un petit moment de silence. “Toi tu grandis tellement vite…”

Il esquissait un doux sourire avant de me serrer dans ses bras. Je le serrais encore plus fort. Jeremy était la personne la plus importante à mes yeux sans lui, j’ignorais qui je serais… Je lui embrassais tendrement la joue avant de me défaire de son embrassade.

“File, tu vas êtres en retard pour tes cours. Travailles-tu aujourd’hui?”

“Ouais, je fais la fermeture, je te promet de rentrer tout de suite après.”

Il était peut-être jeune, mais très responsable à son âge. J’étais presque pareil à son âge. On a juste six ans de différence et on dirait que c’était lui le plus vieux d’entre nous. Il prenait son sac d’école avant de quitter l’appartement. Je le regardais partir avec un sourire aux lèvres. Je baissais mon regard vers ma montre observant l’heure. L’heure fatidique arrivait à grand pas. Je me demandais à quoi ressemblait Carla et surtout qu’elle était son histoire. Sans attendre davantage, on sonnait à ma porte. C’était elle. Le sourire toujours aux lèvres, je m’approchais de la porte et l'ouvrait tout en l’acceuillant chaleureusement.

“Bonjour Carla, venez entrer.”

Je me poussais de la porte d'entrée afin de la laisser entrer. Une fois qu’elle était à l’intérieur je prenais soin de fermer derrière elle. Je lui faisais signe de me suivre jusqu’à mon bureau. Une fois à mon bureau, je lui indiquais de prendre place sur le fauteuil. Lorsqu’elle fût installée, je prenais place derrière le bureau ouvrant son dossier. Il avait peu d’information, mais je comptais à le remplir à cette rencontre.

“Carla… Parlez-moi un peu de vous.” demandais-je doucement. “J’ai crû comprendre que vous avez besoin d’aide à surmonter l’épreuve, d’où votre présence à mon bureau.” ajoutais-je. “Éclaircissez-moi tout cela, si vous le voulez bien. Que puis-je faire pour vous aider ?”
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Feat. Phoenicia Collart

Je n'avais pas dormi de la nuit, j'ai préférée me plonger dans mes musiques que de dormir, et de tout manière je n'arrive pas à trouver sommeil. Je partis me laver, puis je me prépare, il faut que je fasse une petite course, et que je parte adopter un chien, je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de prendre un chien.

Je pars faire des courses, je prenais de quoi aménager un peu plus mon appart, des tableaux, plantes, ect.... . Puis-je parti chez moi j'aménage un peu plus mon appart, je déballe quelques cartons que je n'ai eu le temps de le faire auparavant, puis-je pris route, pour aller chercher un chien.

Un chien de quelles tailles : grand, petit, taille moyenne ? Quelle race ? Je verrai sur quel chien je craque. Je cherche pendant une heure, puis j'ai enfin trouvée, j'ai pris un teckel, il est trop mimi. Je pars vite au magasin pour lui prendre quelques jouets, un panier, et de quoi le nourir, et de prendre soin de lui. Je pars chez moi lui trouva un petit coin pour lui et ses jouets.

Puis-je prends mon pc, et je surfe un peu, pour voir quelques nouveautés, ou autres. Puis-je tombe sur une annonce, contacter un psychologue, je réfléchis un moment, et puis je me dis, pourquoi pas? Je dois parler de ce qui m'est arrivée, cela peut m'aider a franchir un obstacle, et ça pourrais me faire du bien, de pouvoir parler à une personne, sachant que normalement tout ce que je lui dis, ne doit pas sortir de la salle, mais je ne suis pas certaines que tous les psychologues respectent cela, mais je pense que certains prennent leur travail à coeur, donc ils ne disent absolument rien, de ce qu'ils entendent pendant la journée. Puis-je pris rendez-vous, demain vers 15h, évitons d'arriver en tard le premier jour, puisque je suis déjà arriver en retards, un premier jour.

Je sors mon chien, il est 20 h 30, oui j'aime sortir le soir. Je sors pendant 1h, je rentre, je me couche et pour une fois dans ma vie, je me mets un réveille pour me réveiller demain, c'est une première croyez-moi, sur parole.

Le lendemain matin, je me lève, il est 10h, et il fait 10 degrés si cela vous intéresse, encore une journée à avoir froids, oui je sais peux désactiver pour ressentir le froid ou le chaud, mais je ne veux pas le désactiver.

Je prends la route à 14 h 30, puisque je ne connais pas la route, vaux mieux la prendre en avance, on ne c'est jamais. Puis j'arrive enfin au bon endroit, a l'heure puisqu'il est 14 h 50, je suis même à l'avance. Je rentre et j'attends dans la salle que sa soit à mon tour?

J'entends mon prénom, c'est à moi, pas besoin de paniquer, tout va bien se passer j'en suis certaine, je me lève et rentre dans la salle.

"Bonjour.. ."

Je m'assois, je ne suis pas très à l'aise, mais je pense que cela est normal, puisque c'est la première fois que je vois un psychologue.

"Je suis venue, jusqu'ici, parce que j'avais besoin de parler à une personne, qui m'écoutera attentivement. Donc pour commencer je suis une androïde, j'espère que cela ne pose aucun problème ? Avant que les androïdes obtiennent leur liberté, j'étais une déviante, j'ai été déviante, pendant quelques mois, donc je suis venue ici, parler de mon passé, pour ne plus besoin d'en avoir à parler dans les mois, ou années à venir."

Je préfère me présenter briévement, et si elle n'a aucun problème au fait que je suis une déviante, je pourrais lui expliquer mon passé.

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feat. Carla Ax400 ••• Il fallait se l’avouer que Carla était une belle jeune femme, malgré qu’elle était une androïde. Humain ou pas, ils étaient tous beaux intérieurement que extérieurement. Honnêtement, c’était de cette façon que je voyais le monde. Merveilleux et beau peu importe l’attrait physique de la personne. Ça c’était un petit plus, par contre le truc le plus important était la beauté intérieur. C’est ça qui m’attirait plus chez les gens, ensuite la beauté. Ce n’était pas trop le moment d’y songer.

Je la sentais pas trop à l’aise, ce qui était normal. En théorie, être dans un bureau officiel d’un spécialiste c’est toujours intimidant. Je l’ignorais pourquoi, mais c’était ainsi. Surtout pour la première fois, qui semblait être son cas. Elle expliquait son problème et je pouvais certainement aider. Et pourquoi pas ? Je n’étais pas méchante, je n’étais pas fermée comme les autres psychologues que dès qu’ils voient un problème ils prescrivent un médicament. Non. Je n’étais pas comme ça et heureusement.

Je travaillais d’arrache pied pour me faire un nom dans cette société qui a fort changé depuis de nombreuses années. Ceux qui ont étudiés dans le même domaine que moi, non pas le même état esprit critique que moi. Loin de là. Ils suivent l'étiquette imposé depuis longtemps. Pas moi. J’écoutais les problèmes des patients et je leur apportais un certain réconfort en m’impliquant émotionnellement afin de m’imaginer d’être à leur place. Aussi simple que cela. Brisons les règles. Si les patients voulaient pleurer, qu’ils pleurent. Si les patients voulaient crier, qu’ils crient. Si les patients voulaient rire, qu’ils rirent. Jamais je ne les empêcherait de vivre de leur émotions en prescrivant des médicaments qui empêche de vivre et de ressentir toutes sortes d’émotions.

Revenons à Carla. Elle était venue ici pour que quelqu’un écoute ses problèmes, avoir une oreille attentive. Elle avait frappé à la bonne porte. Elle était une androïde, comment je l’avais devinée ? Une professionnelle ne dévoile jamais ses secrets professionnels. Ce qui ne me posait aucun problème, je secouais négativement la tête pour dire à Carla que ça ne me dérangeait pas. Mon bureau était ouvert pour tout le monde qui avait besoin d’une aide particulière. Elle m’expliquait qu’avant que les androïdes obtiennent leurs libertés, qu’elle était déviante. Pendant plusieurs mois même. Elle était venue ici afin de parler de son passé pour ne plus en parler dans le futur. Ce qui était compréhensible.

“Il n’y a pas de problème à ce que vous soyez une androïde, une humaine ou une déviante. L’important ici c’est que vous voulez vous libérer d’un fardeau qui pèsent sur vos épaules. Ce qui est tout à fait compréhensible. Je suis là pour ça.” débutais-je tranquillement posant mon stylo afin de regarder Carla. “À vrai dire… Je suis heureuse que vous ayez trouvé mon bureau plutôt qu’un autre. Ce n’est pas tous les psychologues qui sont ouverts à ce sujet. Croyez-moi…”

Je savais de quoi je parlais. Déjà le vieux psychologue qu’avait Elliot lorsqu’elle est venue me rendre visite en était la preuve. Tout ce qu’ils veulent c’est de l’argent sans écouter les problèmes et des résoudres. Je n’étais pas comme ça. En fait, je me sentirais mal si c’était le cas. J’esquissais un doux sourire à Carla.

“Je suis là pour vous et vous écoutez, Carla.” toujours en restant professionnel. “Racontez-moi votre passé et soyez-en libérer après notre séance.”
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Feat. Phoenicia Collart

C'était la première fois que je contacte un psychologue, mais je pense que j'ai bien choisis de venir dans ce bureau et pas un autre, je peux facilement me tromper cela est seulement une impression. Je pense qu'elle remarque je ne dois pas être à l'aise, mais même si ça n'aurait pas été dans un bureau, je n'aurais pas était à l'aise, rencontrée des gens c'est compliqué dans le monde d'aujourd'hui, tu ne sais jamais vraiment à qui tu as faire, tu te fais une image de la personne, et au final tu te rends compte que cette personne, est totalement l'inverse de ce que tu croyais, toute personne peut nous blesser facilement, que ce soit moralement ou physiquement.

Je n'arrive pas à croire que je vais parler à quelqu'un de mon passé, ça sera la première fois et surement la dernière fois. Ce n'est pas que je ne veux pas en parler, c'est juste que c'est douloureux quand j'en parle, pensée à ce qui m'est arrivée c'est comme penser à l'enfer, aujourd'hui si je décide d'en parler c'est juste pour moi une façon d'oublier, et elle peut m'aider à surmonter cette épreuve.

Mais est-ce que tout ce que je vais dire, va rester dans cette salle, avant de venir ici j'en doutais, mais depuis que je suis arrivée, je pense que oui tout ce que je vais dire va rester dans cette salle, je pense qu'elle prend son travail au sérieux, elle me semble différentes des autres psychologues. Espérons que ce soit le cas.

Puis elle me dit que cela ne la dérangeait pas que je sois une androïde, ouf, je ne suis pas sûre que d'autres psychologues auront acceptés que je sois une androïdes, même si nous avons obtenue notre liberté, certains humains ou même androïdes, ne veulent pas accepter que cela existe soit il reste des machines à obéir aux ordres, ou alors les humains ne veulent pas des androïdes qui sont libres, mais pourquoi ?

" Moi aussi je suis contente d'avoir trouvée ce bureau et pas celui d'une autre personne."

C'était purement vrai, je suis contente d'être tombée sur cette annonce et pas une autre, j'aurais pu tomber sur un mauvais psychologue, ou alors un psychologue qui raconte tout ce que je lui dis.

"Je vais essayer de faire cours." Je fais une petite pause puis-je reprends. " Au début j'habitais avec une famille, très gentille avec deux jumeaux, qui sont également très sympathiques, et ils étaient trop mimi. Je devais m'occuper du ménage, m'occuper des enfants et tout autres bazar. Mais un jour les parents étaient en plein divorce, mais je ne devais pas le dire aux deux jumeaux, mais un de ces jumeaux l'a découvert par lui même. Donc leur père à voulu me renvoyer à CyberLife, j'ai dit que je ne voulais pas y retourner, donc je me suis enfuit. Et je ne suis jamais revenu les voir."

C'était vraiment pour faire cours, je pouvais encore raconter énormément de choses, mais j'ai préférée faire cour, c'est mieux comme ça.

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feat. Carla Ax400 ••• Carla une androïde qui était devenue déviante à cause des événements du passés. Un passé dont personne ne peut oublié. Elle était faite forte. Quel était ce petit élément déclencheur aux androïdes ? La peur ? La tristesse ? La colère ? Comment deviennent-ils déviants ? C’était ma question principale. Le pourquoi ne m’intéressaient pas, c’était plus le comment. Comment était-ce possible pour eux de ressentir quelque chose. Quel genre de système utilisent Cyberlife ? Je n’étais pas une génie en informatique ou quoique ce soit, mais je voulais comprendre.

Dans tous les cas, Carla était également heureuse d’avoir trouvée mon bureau et non celui d’un autre. Ce n’était pas tous les psychologues qui étaient ouverts à l’idée que les androïdes pouvaient ressentir quelque chose. Était-ce uniquement mental ? Était-ce également physique ? Je me le demandais… Certain étaient fermés à cette idée, pas moi, je n’étais pas comme les autres et ce depuis que je suis toute petite.

L’androïde était ici pour se libérer d’un fardeau qui lui pesait sur les épaules et j’étais là pour l’écouter. Ouais et peut-être lui apporter quelques conseils judicieux pour le futur. Elle voulait faire ça court, je la laissais aller. J’étais munie d’un crayon à l’encre prête à écrire dans son dossier.

Son histoire débutait… Elle habitait avec une famille gentille, très gentille tel était ces mots. Les parents avaient donnés naissances à deux jumeaux. Sympathique et trop mimi d’après la déviante. Les enfants ces mignons quand ils le veulent. Oh que oui ! Comme mon petit frère, Jeremy, c’était un petit ange quand il était né. Je m’ennuyais de cette époque, là où que tout était plus simple.

Pour continuer son aventure, elle faisait du ménage dans cette maison familiale. Elle s’occupait également des enfants et tout autre chose. C’était le boulot d’un AX400 tout ça. J’avais fait mes devoirs là-dessus. Quelque chose bouleversait toute la famille, le divorce, que l’androïde ne pouvait rien dire aux enfants. Difficile. Surtout que l’un d’eux l’avait découvert par lui-même.

Le père de famille a voulu la renvoyer à cyberlife juste à cause de ça ? Ce n’était pas de sa faute si l’un des jumeaux étaient plus curieux que l’autre. Carla ne voulait pas retourner. Je la comprenais, quand tu t’attaches à une famille c’était difficile de s’en séparer et pourtant… Elle a prit la fuite, elle avait bien fait. Elle n’a jamais eu la chance de les revoir.

Je fronçais les sourcils avant de hocher doucement la tête suite à son péripétie.Elle n’avait pas mériter un tel traitement. J’avais écrit tout ce qu’elle venait de me dire. Je glissais une mèche derrière mon oreille afin de m’aider à y voir plus clair. Je redressais mon visage vers celle-ci.

“Je suis désolée pour ce qu’ils ont fait… Ce n’était pas de votre faute si l’un des jumeaux étaient plus curieux que l’autre… Vous ne pouviez pas les contrôler vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Juste à cause de cette découverte, ils ont pensés que vous étiez défectueuse… J’imagine que les parents ne sont plus ensemble depuis…”

Je me taisais un instant pour songer à la suite. Je venais à m’adosser sur le dossier de mon fauteuil tout en restant professionnel.

“Je sens que ce n’est pas uniquement cette aventure qui vous pèses… Il y a autre chose, n’est-ce pas ? Pendant votre fuite j’imagine… Dites-moi… Je suis là pour ça, que votre histoire soit longue ou courte ça n’a aucune importance pour moi. Tant que vous vous sentez bien à la fin de cette première séance, c’est tout ce qui compte.”
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Feat. Phoenicia Collart

Quand je raconte, ou que je pense à mon passé, j'avais envie de verser des larmes, je ne pense pas que je méritais un tel sort, je n'étais pas méchante, et je ne le suis toujours pas, quand on me demande de faire quelque chose je le fais, mais je n'ai pas bien fait mon travail, faire en sorte que les deux jumeaux ne savent pas que les parents étaient sur le point de divorcée. Est-ce de ma faute ? J'aurais dû vérifier que j'étais bien seule avec les parents, si j'aurai seulement je l'aurais vu, aujourd'hui, je serais encore en train de m'occuper d'eux.

Ou bien c'était le père, qui était beaucoup trop stricte, et il ne voulait pas que je fasse une seule connerie, et j'en ai fait une, si je serai restée il m'aurait renvoyée à CiberLife, mais je ne veux pas y retourner, je veux me souvenir de tout, et rien n'oublier !

Je ne voulais pas y penser, mais je m'y sentais obligée, quand j'y pense, je me dis à chaque fois, que c'est de ma faute, si je suis ici aujourd'hui, en train de vivre, seule dans son coin, et que tout le monde sans fous de moi, enfin c'est l'impression que j'ai. Mais si je serai restée, j'aurai été quoi ? Une androïde qui ne veut pas devenir déviante, parce qu'elle ne veut pas quitter cette famille, que j'aimais tellement. Peu importe si je suis seule ou pas, au moins je peux vivre comme je le souhaite, sans qu'on me dise quoi faire et quoi penser.

Bref je vais arrêter d'y penser, je ne voudrais pas pleurer devant la psychologue, même si je pense qu'elle à du remarquer. Elle pris la parole, en disant qu'elle était désolée pour ce qu'il m'était arrivée, et que je ne méritais pas ça, je suis contente qu'elle est comprends ce que je ressens.

"Je pense que les parents sont divorcés, mais maintenant cela ne me regarde plus, j'espère juste que les jumeaux sont heureux."

Mais elle avait devinée que mon problème n'était pas que mon passé, elle n'a pas tort, mais c'est juste que je me sens seule, et parfois je me demande si je n'aurai pas fait de rester une machine qui obéit, sans rien dire.

"Vous avez raison, il n'y a pas que ça... C'est juste que.... Je me sens seule, et, si je serai rester une machine j'aurais surement était plus heureuse, je ne serais pas libre, mais je ne me sentirais pas seule..."

C'était vraiment ce que je pensais, et ce que je ressentais au plus profond de moi..

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feat. Carla Ax400 •••Carla pensait que les parents étaient divorcés à présent, elle espérait que les jumeaux étaient heureux. Je l’espérais également, c’était dur pour des jeunes enfants de voir leur parent se séparer. J’en étais la preuve vivante, ce n’était pas plaisant de voir ses parents se séparer… Surtout que mon père était alcoolique, ça ne l’avait pas aidé. Par contre, ma mère m’avait interdit de voir mon père, ce lien s’était brisé avec le temps. Maintenant il vivait d’amour et d’eau fraîche avec sa nouvelle femme et son nouvel enfant… Il avait été clair que je n’étais pas la bienvenue. Je ne connaîtrais jamais mon demi-frère, tant pis, car tout mon amour je l’avais donné à Jeremy.

Dans tous les cas, je me concentrais à nouveau vers Carla. Elle était ma patiente, elle était ma priorité du moment. Pas mes problèmes personnels. Elle me disait que j’avais raison. Raison sur quoi ? Eh bien… Qu’il n’avait pas juste le problème avec cette famille, mais qu’il y avait autre chose également. Elle dévoilait qu’elle se sentait seule, et que si elle aurait resté qu’une simple machine qu’elle aurait été certainement plus heureuse. Qu’elle n’aurait pas été libre, mais qu’elle ne saurait pas sentie seule.

Je voulais serrer Carla dans mes bras, mais il fallait que je reste d’abord et avant tout professionnel. Je me redressais regardant très sérieusement Carla. Je finis par baisser mon regard et de me lever de ma chaise, je fis le tour de mon bureau pour me mettre à ses côtés. Je posais une main réconfortante sur son épaule. Mon geste était délicat, car dans ma tête elle était fragile tel qu’une poupée de chiffon. Et qu’elle était tout aussi humaine que moi. Elle avait des émotions, il fallait qu’elle les évacués.

“Carla… Vous êtes fortes. Vous avez tant traversés.” débutais-je doucement ayant trouver les mots. “Mais ne me dites plus jamais ce genre de sottise, est-ce bien clair ?” ajoutais-je doucement. “Vous êtes libre, vous êtes indépendante, vous avez vécus tout ça et ce n’était pas pour rien.” continuais-je sur ma lancée. “Il est vrai que c’est triste d’être seule, mais un jour, vous allez trouver des personnes sur qui compter et vous allez oublié ce que c’est la solitude.”

Un petit sourire se glissait à mes lèvres tandis que je baissais mon regard pour la regarder droit dans les yeux. Je retirais ma main et reculais un peu, pour venir m'asseoir sur le bout de mon bureau abordant une position tout de même professionnel.

“Si je l’ai trouvé, vous allez le trouver. Je vous le promet.”

Je disais ça pour la rassurer, mais aussi parce que c’était vrai. Un jour, elle va trouver une personne ou des personnages sur qui elle pourra compter. Elle ne sera plus seule. Cela dit… Nous naissons seul et nous mourrons seul, tout ce que nous gardons en tête, c’est nos souvenirs partagés avec les gens que nous aimons.

“Vous n’êtes pas qu’une simple machine, vous êtes plus que ça. Vous êtes plus humain, que n’importe quel humain sur terre. Vous apprenez de vos erreurs et vous ne le reproduisez pas. C’est ce que j’admire.” soufflais-je doucement en hochant la tête.

Je joignais mes mains ensemble, les posant sur mes cuisses. J’abordais toujours une position professionnel ayant le dos bien droit.

“La vie est dure et avec tout le monde, croyez-moi. Vous avez autant votre place que n’importe qui sur cette planète.” ajoutais-je tout simplement. “Il n’y a pas autre chose que vous voulez parler ?”
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Feat. Phoenicia Collart

Vous voulez que je vous dise quelque chose, je suis tombée dans la meilleure psychologue, au monde ! Elle est si gentille ! Elle me réconforte avec ses propres mots, cela me touche tellement, que je vais pleurer, je ne vais pas pouvoir me retenir, mais c'était tellement touchant ce qu'elle me disait, personne ne m'avait dit cela auparavant, c'est pour cela que ça me touche vraiment.

Elle est même venue s'asseoir à côté, de moi, ce qui prouve qu'elle m'écoute vraiment, je pense que même elle a été touchée parce que je lui dis, et ça aussi ça me touche, je vais vraiment finir par pleurer. Elle me disait que j'étais forte, pour ce que j'ai traversée, et elle ne voulait plus que je dise de sottise, mais sa ne sera pas possible je suis comme ça, je suis libre et indépendantes, c'est elle qui le disait, puis elle continua en disant qu'un jour je ne serais plus seule.

Après tout ce qu'elle venait de me dire, je ne pus me retenir de verser des larmes.

"Ce que vous avez dit, me touche vraiment... Et non je ne peux pas arrêter de dire des sottise, j'en ai toujours dit, et j'en dirais toujours... J'espère que vous avez raison, qu'un beau jour, je ne serais plus seul."

Je ne pouvais pas retenir mes larmes tombées, alors je décide donc de m'excuser.

"Pardon... Cela ne se fait pas de pleurer, devant une personne..."

Je me sentais obligée de m'excuser, pleurer devant sa psychologue, devrait être "normal" si on peut dire ça, puisqu'elle est là pour vous remonter le moral, mais elle était tellement sincère..

Puis elle reprit la parole, elle me dit, que si elle l'a trouvée, je le trouverai également, elle parlait que des personnes prennent soin d'elle, mais c'était différent, elle était humaine, et elle était magnifique.

"Oui mais.... Vous êtes humaine, donc je suppose que les personnes vous parlent plus facilement qu'aux androïdes... Et.... Vous êtes plus belle que moi... Vous l'avez trouvée, et je suis contente pour vous.... Mais moi je ne pense pas que je le trouverais......"

J'avais l'impression d'avoir le coeur brisée, mais grâce à la psychologue, je me sens mieux, et je ne pourrais jamais oublier ce qu'elle vient de me dire... Jamais !

Je suis bien plus qu'une simple machine, c'est ce qu'elle venait de dire, décidément, je ne pourrais pas arrêter de verser des larmes si elle continue à me dire des choses aussi gentilles.. Elle disait même que j'étais plus humain, que n'importe quel humain sur la terre, je ne savais pas qu'une personne aussi gentille exister sur cette terre, mais maintenant je sais qu'il en existe au moins une.

"Vous êtes la personne la plus gentille que je connaisse, tout ce que vous m'avez dit, m'a réellement touchée... Et j'avais besoin d'entendre cela, je ne pourrais jamais vous remercier assez, pour ce que vous venez de dire.... Mais vous pouvez me croire, vous êtes la personne la plus gentille sur terre.."

Elle prend la parole, en me disant que la vie était dure avec tout le monde, elle n'a pas tort. Puis elle continua en me disant j'avais ma place autant que n'importe qui sur cette planète. Pour finir elle me demande si je voulais parler d'autre chose, mais non, elle m'a tout dit, tout ce que j'avais envie d'entendre je l'ai entendu, et je le remercie au plus profond de moi.

"Non je n'ai pas autre chose à ajouter.... Mais merci... Merci infiniment pour ce que vous venez de me dire... Je ne vous oublierais jamais..."

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feat. Carla Ax400 •••Carla versait des larmes, un androïde n’était pas qu’une simple machine, mais d’une grande intelligence. Même certains humains ne montraient pas assez d’émotion, que ça soit de la joie, de la peine ou encore de la colère. Tout dépendait de comment ils avaient élevés aussi… D’autres étaient nés ainsi, sa démontrer aucune émotion, qu’ils se montraient froid alors qu’ils ont toujours été ainsi… Mais bon, l’être humain en tant que tel était très complexe à la base. À mes yeux, je me trouvais compliquée, car j’étais loin d’être parfaite. Ce n’était qu’une “couverture”, une image plaisante que je transmettrais à mes patients. Je tenais parfaitement mon rôle de psychologue, car c’était leur soucis et non les miens. Tout simplement.

Elle déclarait ce que je disais était touchant. À ce point là ? J’avais sû cherché les bons mots pour la toucher en quelque sorte. Sans prétention, car parfois j’ignorais sur quel pied danser avec un androïde. Un était ouvert et l’autre pouvait être fermé. Revenons à nos moutons, Carla me disait qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de dire des sottises, car c’était dans sa façon d’être. Je comprenais, dans un sens. Elle en disait trop et toujours trop. Elle espérait.. Qu’un jour elle ne serait plus seule. Je lui souhaitais intérieurement. .

Je voyais bien qu’elle pleurait, je venais à lui offrir un mouchoir afin qu’elle sèche ses larmes. J’esquissais même un doux sourire à son attention. Elle s’excusait disant que ça ne se faisait pas de pleurer devant quelqu’un. J’haussais un sourcil face à cette réponse.

“Ne vous en faites pas, vous pouvez pleurer autant que vous le voulez. Ne soyez pas gêné avec moi.”

Un autre petit sourire afin de l’encourager. J’avais beau être psychologue, mais voir un individu pleurer ne me faisait “rien” émotionnellement. Ils pouvaient pleuré autant qu’ils le voulaient, ça ne me dérangeait pas. Je l’encourageais en disant que j’avais trouvé ma personne. Elle me disait que c’était normal puisque j’étais humaine. Elle supposait que les personnes me parlaient plus facilement qu’aux androïdes, ce qui n’était pas faux… En ajoutant que j’étais plus belle qu’elle. Je penchais la tête sur le côté face à cette réponse. Elle était d’ailleurs contente que j’avais trouvée cette “personne”, par contre elle ne pensait pas qu’elle trouverait la sienne.

“Être un humain ne veut rien dire de nos jours, c’est sûr que certains on plus la facilité à parler avec leur semblable, même chose pour les androïdes. La beauté ne veut rien signifié… La beauté intérieur compte plus que la beauté extérieur, mais… merci du compliment.” un sourire restait sur mes lèvres. “Vous êtes tout aussi belle que moi, croyez-moi. Et rester positive, vous allez trouvée.”

Voilà, si elle restait positive, elle trouvera cette personne spéciale sur un plateau d’or. Peut-être que la couvrait de belles paroles pour la séduire, mais ce n’était que la stricte vérité, je le pensais sincèrement. Et puis, elle me disait que j’étais la personne la plus gentille qu’elle connaissait. Tout ce que je lui avais dis, l’avais touchée. Tant mieux.. Je voulais qu’elle ressorte d’ici avec un sourire et le regard tourné vers l’avenir prometteur pour elle. Elle en avait de besoin, bien sûr qu’elle en avait de besoin. Ça se voyait. Elle ajoutait que jamais elle ne me remerciait assez pour ce que je venais de lui dire. Pas besoin.. Elle insistait par contre sur le fait que j’étais la personne la plus gentille sur terre.

“Je ne suis pas la seule à être gentille… Certain on juste peur de s’exprimer, mais ils en existent d’autres… Je suis sûr que vous en allez en croiser d’autre sur votre route.” je joignais mes mains ensemble. “Je suis juste la première que vous rencontriez, tout simplement.”

Et puis, je lui demandais si elle avait autre chose à ajouter, mais sa réponse fût négative. Elle n’avait rien à ajouter, mais elle me remerciait, infiniment même. Jamais elle n’allait m'oublier. Touchant. Ça m’arrachait un autre sourire.

“Vous n’avez pas à me remercier, c’est tout à fait normal… Je ne fais que mon travail, aider les personnes qui en ont de besoin. Vous allez trouver votre moitié, ce n’est pas nécessairement niveau amoureux, ça peut être en amitié qui se transforme en famille.. On a tous notre moitié quelque part.. Le vôtre est toujours caché et il attend le bon moment de se montrer. Qu’est-ce que je dis là… Ça peut être une “elle” sait-on jamais..” :copyright: 2981 12289 0

Date d'inscription : 25/08/2019

I will help you to find a way

Feat. Phoenicia Collart

Au début, je ne voyais pas l'intérêt d'aller chez un psy, mais je me suis convaincu à venir ici, je ne sais pas si tous les psychologues, sont comme ça, c'est-à-dire aussi gentils, se préoccuper vraiment de ses patients, de les écouter et je ne le serais pas, puisque si j'aurais encore besoin de venir voir un psychologue, je reviendrais ici, sans aucune hésitation. Je pleurais toujours, elle venait m'apporter des mouchoirs, en ajoutant que je pouvais pleurer autant je le souhaite et je ne devais pas être gêné.

"Merci.."

Je venais de lui merci, pour les mouchoirs et également ce qu'elle venait de dire, je sais que son travail, c'est de nous aider à surmonter des épreuves qu'on a du mal à surpasser, mais elle est tellement gentille, surement parce que je suis sa patiente, mais ça me touche énormément.

"Être un humain ne veut rien dire de nos jours", c'est ce qu'elle venait de dire, elle à complètement raison, ensuite, elle ajoute que certains avez plus de faciliter de parler avec leurs semblables, elle continue en disant que la beauté intérieure était plus importe que la beauté extérieure, elle n'avait également pas tord, elle finissait sa phrase, en me remerciant du compliment que je lui avais dit, c'était normal et la vérité. Elle ajoutait que j'étais aussi belle qu'elle, je ne pouvais m'empêcher de sourire.

"Oui vous n'avez pas tort, la beauté intérieure est plus importante. Je vous en pris pour le compliment, c'est tout à fait normal. Et merci également du compliment. Et si vous dites que je vais le trouver, dans ce cas, je vous crois."

Pour être franche, je ne sais pas si c'était possible que quelqu'un m'aide à surmonter tout ça, mais je me suis trompée et je suis ravie de m'être trompée, sur ce sujet, parce que dans le cas contraire, j'aurais pris énormément de temps à surmonter tout cela.

J'avais insisté sur le fait qu'elle était la personne la plus gentille sur terre, elle répondit, qu'elle n'était pas la seule à être gentille, elle avait encore raison, décidément elle a toujours raison, elle continue en ajoutant que certains avaient peur de s'exprimer, oui tout comme moi et elle disait que c'était la première personne que je rencontre et oui c'est vrai, je n'ai parler à personne d'autre qu'elle jusqu'au jour d'aujourd'hui.

"Vous avez raison, il y a des personnes qui ont peur de s'exprimer et pour être tout à fait franche, je les comprends.. Et oui, vous êtes la première personne que je rencontre."

Peut-être que prochainement que je rencontrais des personnes gentilles, je vais rester à Detroit toute ma vie, donc il n'y a aucun doute sur ça, je vais rencontrer des personnes.

Bref revenons à la psychologue, elle disait que je n'avais pas besoin de la remercier, car c'était tout à fait normal peut être, mais pour moi j'étais obligée de le faire, puis après elle ajoute que j'allais aussi trouver ma moitié, qu'il était caché et qu'il attend le bon moment pour se montrer, ça peut-être elle on ne sait jamais, je ne suis jamais tombée amoureuse, alors je ne sais pas.

"Pour moi je suis dans l'obligation de vous remercier, personne ne pourra m'aider tel que vous l'avez fait. Et si vous dites que ma moitié et quelque part, je vous crois."

Codage par Libella sur Graphiorum

Invité

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feat. Carla Ax400 •••Elle me remerciait lorsque je lui tendais la boîte de mouchoir et certainement à cause que je lui disais qu’elle pouvait pleurer face à moi. Ce n’était pas une honte de pleurer face à quelqu’un, non, ça montrait la force intérieur que nous cachons au plus profond de notre être. Pour un androïde était-ce la même chose ? Je l’ignorais, mais j’aimais bien me convaincre que c’était le cas. Une réalité qui me frappait en plein visage, peu de gens sont prêts à faire entièrement confiance à un androïde. D’ailleurs être humains ne voulaient plus rien dire de nos jours. Certaines personnes n’avaient rien d’humains… Je parlais bien de l’Opposition bien entendu. Ce groupuscule qui éliminent les androïdes par haine ou pour d’autres raisons que personne ne connaissent réellement. Tout ce que je savais, c’est qu’ils aspirent à faire du grabuge.

Revenons au positif, Carla. Je me concentrais sur ces paroles. Elle trouvait que je n’avais pas tort concernant la beauté intérieur, qui était plus important. Elle me remerciait pour le compliment, j’hochais doucement la tête face à ces paroles tout en esquissant un bref sourire. Elle ajoutait que si je lui disais qu’elle allait trouver la personne, alors elle me croyait. On pouvait tout trouver cette personne spécial à nos yeux. Amour, amitié ou même famille. Pour moi ? C’était mon petit frère… Mon âme soeur, étrange dit comme ça, mais il est la lumière qui illumine mon chemin. Sans lui, je n’aurais pas été la Phoenicia que tout le monde connaît. Je le savais. Il avait totalement changé mon avenir et dans le bon sens du terme.

Encore une fois, elle disait que j’avais raison. Sur quoi ? Qu’il y avait des personnes qui avaient peur de s’exprimer. Elle les comprenait. Étonnamment, moi aussi. J’étais la première personne qu’elle rencontrait. J’étais choyée de l’entendre dire. C’était une bonne chose à vrai dire. J’espérais tout simplement qu’elle suive mes conseils. J’ajoutais qu’elle n’était pas obligée de me remercier, car je faisais tout simplement mon travail. Pour elle, elle était dans l’obligation de le faire. Personne ne pouvait l’aider comme je l’avais aider. Ça faisait du bien de l’entendre dire… C’était rare et ça prouvait que j’étais sur la bonne voie. Elle allait me croire sur le fait que sa moitié est là quelque part. Bien.

“Bien sûr que votre moitié est là quelque part et qu’il vous attend patiemment.” un sourire s’élargit sur mes lèvres, mon regard se portait vers ma montre. “La session se tire vers sa fin… Voulez-vous parler d’autre chose ou voulez-vous cidulé un autre rendez-vous pour le prochain mois ? C’est comme vous le sentez, rien ne sert de se presser, vous pouvez toujours me contacter en cas de besoin, Carla.” :copyright: 2981 12289 0